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Météo Las Galeras

samedi 25 août 2012

4 poisons pour notre santé!

 

Les quatre ennemis blancs:

le lait, la farine blanche, le sel et le sucre blanc

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Pour lire l'article en entier http://www.onnouscachetout.com/themes/alimentation/laitdevache.php

 Le lait 

1 - Code génétique inadapté

Les hormones contenues dans le lait de vache sont des véhicules d’informations et vont transmettre à l’hypophyse du veau des informations adaptées à cette espèce animale particulière.Imaginez une information de croissance spécifique au veau, par exemple peser 500 kg à six mois, reçu dans l’hypophyse d’un nourrisson qui, lui, dans le même temps, ne doit peser que 7 à 8 kg ? Que va-t-il se passer ?

Tout simplement, cette information non spécifique, qui ne correspond en rien à la croissance normale de l’être humain, va perturber le mécanisme sensible du système hormonal réglé par l’hypophyse et, de ce fait, déclencher toute une série de conséquences fâcheuses pour le bon fonctionnement physiologique de l’individu. Quand bien même, malgré cela, l’organisme humain serait capable de s’adapter à cette désinformation, il le ferait au détriment d’autres fonctions s’étalant sur la vie entière de l’individu et même sur des générations
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C’est pourquoi le danger ne porte ni sur la quantité de produits laitiers absorbés (bien que cela puisse provoquer des encrassements du métabolisme, et nous en reparlerons plus loin), ni même sur la quantité biologique : le lait de vache issu de l’agrobiologique contient absolument les mêmes informations néfastes et non adaptées à l’espèce humaine. Une seule goutte de lait, même cachée dans un gâteau, suffisait à dérégler le processus du métabolisme. En conséquence, on constate, dans la plupart des cas, des réactions négatives du bébé lors du sevrage passant du lait maternel au lait de vache, ou aux laits dits maternisés qui restent malgré tout spécifiques à l’espèce animale car composée avec du lait de vache.

Cette information ne se trouve pas dans la viande de bœuf car n’ayant pas les mêmes caractères d’information. Il est, à mon avis, plus dangereux pour la santé de l’homme de consommer des laitages que la viande de bonne qualité biologique. Contrairement aux idées répandues parmi les adeptes végétariens.

2 - Du calcium inaccessible

Nous trouvons dans le lait de vache, tout comme dans le lait maternel, du calcium. Celui-ci est dosé suivant les besoins du veau ou du bébé. Non seulement les besoins ne sont pas les mêmes, mais aussi grande que soit la proportion de calcium dans le lait de vache, celui-ci ne pourra en aucun cas être disponible à l’organisme humain. En effet, les protéines spécifiques contenues dans le lait animal et ayant pour fonction de transmettre l’information nécessaire à l'élaboration de l’osséine (filet sur cartilage pour retenir les minéraux) ne seront pas adaptées à notre espèce, mais au veau, donc totalement inopérantes pour l’être humain.
C’est pourquoi le bébé, l’enfant, ou l’adulte, auront très peu d’osséine et par ce fait, retiendront mal les minéraux, entraînant une déminéralisation progressive
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En regroupant les constatations de plusieurs chercheurs, médecins et hygiénistes, il semblerait que l’organisme, d’une part se défait de ces sels minéraux circulant dans le système sanguin, par défaut d’osséine, et d’autre part accumule ces mêmes sels contenus en trop grande quantité dans le lait de vache, dans des endroits tissulaires et organiques du corps. Ceci entraînant indurations, kystes, calculs et becs de perroquet.

3 - Des graisses saturées

Dans le lait maternel, les graisses sont constituées essentiellement d’acides gras poly-insaturés. Le lait de vache, lui, contient essentiellement des acides gras saturés à grosses molécules lipidiques que le foie de l’être humain a du mal à digérer et à saponifier. Le système biliaire se fatigue par une suractivité pour tenter de dissoudre un produit incompatible avec le système digestif. Il est important de savoir que le lait de vache a la propriété de fixer les toxines déjà présentes dans le corps et principalement celles qui viennent s’y ajouter par l’alimentation. C’est pourquoi lors d’une maladie aiguë ou chronique (grippe, angine infection) il est indispensable de supprimer tous les produits laitiers afin d’en venir à la guérison. De plus, les graisses qui ne sont pas éliminés seront absorbées au niveau de l’intestin grêle, passant ainsi dans le sang, ce qui est particulièrement nocif. Les graisses ont une importance capitale pour le développement du cerveau et du système nerveux. Le cerveau de l’être humain ayant une croissance plus rapide que celui des autres mammifères, il est donc important de lui fournir des graisses de bonne qualité, c’est-à-dire insaturées, de provenance maternelle ou bien végétale.Et pour une croissance harmonieuse du bébé, nous trouvons la lactoferrine dans les protéines du lactosérum maternel.

4. Pauvreté en lactose

Le lait maternel, biologiquement adapté à l’homme, en contient plus de 50 % que le lait de vache.
Ses propriétés sont non seulement énergétiques et déterminantes dans le processus de l’assimilation des minéraux et de la constitution de la flore intestinale, mais aussi elles participent grandement dans la protection contre les germes pathogènes.

Aucun lait d’origine animale ne protège l'homme contre les germes pathogènes et autres parasites. Bien au contraire, ils en favorisent tous la prolifération par modification du milieu digestif et intestinal qu’entraîne inévitablement leur absorption
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La fièvre de Malte et la brucellose en sont les conséquences dont les risques ont été minimisés avec la surveillance sanitaire et la vaccination. Mais la vaccination n'empêche pas le passage d'autres toxines présentes dans le lait de vache comme nous allons le voir plus loin.

Les protéines du lactosérum contenues dans le lait maternel contiennent des protéines anticorps (lysosymes, gammaglobulines. immunoglobulines) qui jouent un rôle de grande importance dans la lutte contre les infections, d'autant plus que le nourrisson n'a pas établi sa barrière immunitaire intestinale.

D'où, une fois de plus, l'importance de nourrir l'enfant au lait maternel et d'abandonner le lait de vache favorisant les parasites en tous genres.

5. Des molécules géantes

Les éléments constitutifs du lait de vache et du lait maternel sont différents, notamment par la grosseur des molécules et des protéines ainsi que par leur formule biochimique.

Le milieu digestif est également différent selon l'espèce : l'estomac du veau sécrétant de la caillette et celui du bébé de la présure (réinine) pour dégrader et coaguler leurs laits respectifs. Ainsi, on constate que la caillette du veau est cent fois plus puissante et active que la présure du nourrisson, et cela en rapport avec les molécules constituantes du lait de vache qui sont nettement plus grosses que celles du lait maternel. C'est donc un effort considérable que nous demandons à notre foie pour dégrader une trop grosse molécule d'origine animale. Diluer le lait de vache avec de l'eau pour le rendre soi-disant plus digeste ne changera rien à l'affaire car la formule biochimique restera la même.

Le bébé fabrique de la réinine jusqu'à l'âge de trois ans. Au-delà de cet âge, si nous le forçons à boire du lait de vache après son sevrage, son organisme se verra forcé de fabriquer de la présure (lactase) pour digérer un aliment qui ne lui est donc pas nécessaire, au détriment des autres fonctions organiques. J’ajouterai que la présence de la lactase dans l'intestin est responsable de gaz et de ballonnements (une flore intestinale de bonne qualité est de nos jours très rare, il est donc très important de ne pas la modifier ou de la remettre en bon état).

Les Africains possèdent très peu d'enzymes (réinine) pour digérer le lait de vache. Ils sont donc plus exposés que les Occidentaux à des dérèglements digestifs aux conséquences fâcheuses. Le lait de vache et ses sous-produits ( fromage, yaourt; beurre) sont contre-indiqués dans les pays tropicaux.

6. Les facteurs toxiques

Dans les cahiers de la nutrition «Médecine officielle», il est noté que nos chercheurs ont découvert dans le lait de vache une molécule hautement toxique pour l’homme. Des recherches ont été effectuées afin de retirer cette molécule du lait, au lieu d’en retirer tout simplement la vente.

Avec tous ses divers procédés de pasteurisation, d'homogénéisation et de stérilisation UHT, le fait de vache perd ce qui, à la rigueur, pourrait nous aider à nous débarrasser assez vite de cette molécule toxique, c'est-à-dire ses enzymes. Les enzymes sont des facteurs d'assimilation intervenant par catalyse. Sous la chaleur des divers procédés de longue conservation et de protection, le lait de vache se défait de ses enzymes qui sont tous très sensibles et dont la survie est nulle à haute température
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Choisir entre un lait cru et sa facilité d'assimilation et un lait cuit de longue conservation et sa facilité d'emploi, je dirai que cuit ou cru, il vaut mieux s'abstenir. D’autant plus que dans la fabrication de certains fromages, et plus spécialement les fromages de Hollande, l’ajout de tous les additifs conservateurs (polyphosphate, nitrate), sont très dangereux pour la santé de l’homme. Les phosphates ont une action inhibitrice sur la fixation du calcium, d’où le nombre croissant de personnes atteintes de spasmophilie, consommant du fromage ou des produits laitiers. Il faut donc se méfier de la fausse information concernant l’apport de calcium par les laitages.

Et pour terminer, les vaches subissent divers traitements (hormones, vaccins, antibiotiques). Elles sont elles-mêmes alimentées par des produits forcés et traités qui transmettent une forte teneur en toxines dans le lait, ajoutant à tous les facteurs déjà énumérés un danger de plus pour la santé de l’homme (sans parler des farines de cadavres de mouton dont on les a longtemps gavées et dont on commence à mesurer aujourd’hui les graves conséquences sous le terme de «maladie de la vache folle»).

Les produits laitiers d'Europe inondent le Marché et s'expatrient vers les autres pays, notamment les pays tropicaux dont le climat ne permet pas aux consommateurs leur assimilation : de nombreux problèmes de santé en découlent sans en soupçonner leur origine.

Pourquoi, au moment où les médias dénoncent la viande contaminée par la maladie de la vache folle, ne se préoccupe-t-on pas de la qualité du lait de vache ? Et pourtant, il semble logique de se poser, au moins la question.

Evolution pathologique

Le bébé supporte très mal le sevrage lorsqu’on lui substitue au lait maternel du lait de vache dit maternisé. Le rejet et les perturbations sont immédiats. Ses premières manifestations seront des selles qui s’éclaircissent (c’est une atteinte biliaire), des nausées et des vomissements pouvant aller jusqu'à l'étouffement, conséquence d'une intolérance au lait de vache, troublant la fonction stomacale ou biliaire. Des rougeurs, des boutons, des croûtes pourront surgir ainsi que des diarrhées.
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Les réactions du bébé seront d'autant plus fortes que celui-ci aura de la vitalité. La plupart des mamans, mal informées, persévèrent dans cette pratique. Le bébé, par nécessité, finit par s’adapter tant bien que mal à ce régime alimentaire non spécifique.
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Petit à petit, les manifestations d'un dysfonctionnement cesseront Le premier signal d'alarme se tait. On n'aura ni entendu ni supprimé la cause. La mère s'imaginera que tout est rentré dans l'ordre mais il n'en est rien. C'est grave, car le potentiel vital du bébé en sera affaibli, l'amenant vers un terrain fragilisé de moindre résistance.

L’encrassement tissulaire commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, mastoïdite, méningite). Si les inflammations catarrhales ne sont pas supprimées (allergie au lait de vache par exemple), celles-ci atteindront l'enfant dans les parties plus basses (cage thoracique) avec des pleurites, laryngites, trachéites, bronchites.

A la puberté, l'adolescent, soumis à de nouveaux processus hormonaux élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de la peau. C'est ce que l'on appelle l'acné juvénile, qui passera progressivement comme les diarrhées du bébé ont progressivement disparu.

La cause demeurant, la situation reste inchangée. Les signes de carences se manifestent par des déminéralisations (dentaire et osseuse), des troubles du poids, d’attention, de vision, s’ajoutant aux fatigues et nervosité.

A l'âgé adulte, l'inflammation se propagera vers la sphère digestive avec des gastrites, colites, cystites, sigmoïdites. L'invasion inflammatoire se fait du haut vers le bas avec une progression plus ou moins rapide suivant l'état du terrain de chacun (potentiel vital fort, faible ou absent) et cette pathologie sera d'autant plus tenace et envahissante que les moyens pour arrêter sa progression ne feront qu'affaiblir le potentiel vital par absorption de toxines supplémentaires (médicaments) et fermeture des émonctoires (antibiotiques). Encore une fois, on essaie de soigner les effets et non d'arrêter la cause qui reste ici une intolérance à un aliment non spécifique
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Cette progression continuera tant qu'un redressement alimentaire correct ne viendra pas la stopper.

Toutes ces maladies chaudes inflammatoires, dites en "ites", se transformeront petit à petit en maladies froides, dites en "oses" (artérioscléroses, tuberculoses, canceroses).

Les maladies silencieuses sont les plus dangereuses et les plus vicieuses. Elles progressent sans crier garde car le potentiel vital de la personne s’est considérablement affaibli par la prise de médicaments en plus de la continuation de la cause provoquant la toxémie. La phase aiguë du début de la vie et sa force d'élimination (diarrhée, vomissement fièvre, acné, toux) vont peu à peu se transformer en phase silencieuse chronique où la maladie s'installe et s'incruste en formant kystes, polypes et indurations.

Les processus des défenses immunitaires seront grandement affaiblis et la pathologie accédera à un stade irréversible. Cette finalité est d'autant plus triste qu'elle aurait pu être facilement évitée.

L’intoxication à l’acide lactique

A l'âge adulte, nous avons perdu la quasi-totalité des lactases, enzymes indispensables à la digestion du lait. Cette enzyme est présente chez le bébé qui tête sa mère.

Si malgré cela, l’adulte consomme des produits laitiers, il va non seulement ne pas digérer cet aliment, mais créer un état de suractivation d’acide lactique qui en trop grand quantité dans l’organisme, deviendra toxique. En effet, une élévation de l’acide lactique au niveau cellulaire engendre une prolifération de cellules qui n’atteindront pas leur maturité, (la quantité détruit la qualité) et seront incapables de capter l’oxygène et d’éliminer les déchets. Ces perturbations entraîneront des kystes et des tumeurs.

Par quoi remplacer le lait ?

Le lait de soja, les crèmes de dessert au soja, le tofu (obtenu en caillant le lait de soja), les yaourts au lait de soja, le lait d’amandes (obtenue en mixant des amandes avec de l’eau), le lait de céréales, le lait de riz, lait de sésame, lait d’orge...



 La farine blanche 


La farine raffinée est une substance inerte et nutritionnellement pauvre

Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi il y avait le bon vieux pain blanc d’un côté et le pain complet de l’autre ? Le pain blanc serait-il incomplet ? En fait oui. La farine raffinée fait que le pain blanc ne possède que très peu de valeurs nutritives.

L’ironie du sort c’est qu’historiquement la farine blanche était convoitée car seuls les riches pouvaient se la payer : elle demandait plus de travail au meunier et était donc vendue plus chère. La farine noire avait mauvaise presse. En plus de cela, la farine blanche doit son essor à la facilité de conservation qu’elle procure. Étant inerte, elle se conserve mieux, facilitant ainsi le travail de nos industriels.

Le problème d’une farine raffinée c’est que comme pour le sucre raffiné, elle augmente l’indice glycémique de votre corps et apporte peu d’éléments nutritifs pour votre corps. L’action de raffinement tue et retire les minéraux et autres éléments présents à la base dans le blé.


 Le sel 


Il s’attaque à votre cœur

Le sel est aussi couramment utilisé. Historiquement c’est un conservateur puissant. Si vous consommez des plats préparés, il y a de grandes chances que ceux ci contiennent du sel. Même si la prise de conscience s’effectue lentement à ce sujet, le sel est encore très présent dans les préparations industrielles (plats, gâteaux…).

La consommation de sel en France est excessive (environ 10 g par jour, alors que les besoins sont de 2 à 4 g par jour). Votre alimentation quotidienne doit vous apporter votre ration de sel sans que vous n’ayez à en rajouter.

Saler un plat sans l’avoir goûté ? Tout le monde à déjà fait ça, mais réfléchissez au fait que ce geste quotidien peut vous rendre malade.


La consommation excessive de sel est très néfaste pour la santé, déclenchant notamment de l’hypertension artérielle, augmentant les risques cardiovasculaires et provoquant de la rétention d’eau.


Le sel est cependant un ingrédient essentiel, il ne faut pas l’éviter à tout prix mais il convient simplement de ne pas en ajouter dans tout ce que nous consommons.


 Le sucre 
surpoids et diabète

Le sucre est présent dans de nombreux aliments, pas toujours sucrés au goût d’ailleurs, et sert à améliorer le goût et/ou la durée de vie des aliments.
L’un des principes du sucre c’est d’élever la quantité d’énergie disponible dans votre corps de manière temporaire, ce qui provoquera une chute durable juste après.
Le problème c’est qu’après cette consommation, votre pancréas doit travailler pour compenser le manque d’énergie provoqué par la consommation de sucre raffiné.
La consommation permanente d’aliments raffinés est soupçonnée d’être à l’origine de la multiplication des cas de diabètes.

L’indice glycémique

Les aliments raffinés comme la baguette blanche, le riz blanc, les céréales du petit déjeuner type corn flakes ou Rice Krispies, le riz soufflé ont un IG élevé voire très élevé de même que les barres chocolatées, les viennoiseries, certains gâteaux. C’est aussi le cas des pommes de terre surtout lorsqu’elles sont frites ou en purée.

La deuxième surprise concerne le fructose, le chocolat noir et les glaces. En dépit de leur saveur sucrée, ils ne font pas grimper le taux de glucose comme on s’y attendait.

A l’inverse, les aliments peu transformés, comme le pain et le riz complets, les pâtes, les flocons d’avoine et le riz basmati ont un IG modéré à bas.

La plupart des fruits (hormis la banane bien mûre) ont un IG modéré.

Tous les légumes et les légumineuses (lentilles, pois, haricots, boulgour) ont un IG assez bas.
Source : lanutrition.fr

Du sucre ? Non merci ! …

une exception : le XYLITOL, un sucre bénéfique

L’être humain n’est pas vraiment fait pour consommer des sucres raffinés. Peu importe leur forme, blanc ou roux, fructose, glucose, lactose, saccharose, dextrose, maltose, malt d’orge, miel, sirop de maïs, sirop de riz, sirop d’érable, etc., ces sucres agissent comme une drogue en créant une dépendance. Ils peuvent de plus entraîner une prise de poids pouvant mener à l’obésité et au diabète. La littérature médicale et scientifique liste plus de 75 problèmes de santé pouvant découler de la consommation de sucre. Il existe cependant un sucre n’ayant pas les désavantages des sucres raffinés et procurant même des bénéfices pour la santé : le XYLITOL. Voici quelques faits à propos du xylitol :
C’ est un sucre fabriqué à partir de l’écorce de bouleau. Il a l’apparence et le goût du sucre blanc. Il apparaît naturellement dans le métabolisme du glucose; nous en produisons naturellement 15 g par jour. Ce produit n’est pas nouveau; il a été découvert en 1891 en Allemagne. Il est utilisé en Finlande et les pays nordiques depuis des décennies. Sa composition empêche la prolifération des bactéries car elles ne peuvent le métaboliser, contrairement aux autres sucres qui peuvent alimenter certaines bactéries et champignons dangereux. Il renforce l’immunité et peut protéger contre des maladies dégénératives chroniques. Il peut bloquer la capacité de fixation de bactéries infectieuses dans le nez. Plusieurs srpay nasaux en contiennent.

Des études finlandaises ont démontré que le xylitol permet de ralentir la dégradation osseuse et aide à maintenir la densité osseuse. il est le sucre idéal pour les diabétiques car il ne requiert pas d’insuline pour être métabolisé. Il est alcalisant contrairement aux autres sucres qui sont acidifiants. Il contient 40% moins de calories et 75% moins des glucides que le sucre blanc.

Effets dentaires bénéfiques :

Effet anti-carie : les bactéries de la bouche ne peuvent l’utiliser pour causer la carie dentaire et les problèmes de gencives (maladies parodontales). Il peut stopper la progression de petites caries localisées et aider la reminéralisation de caries plus importantes. C’est pourquoi il est un ingrédient important de certains dentifrices et gommes à mâcher. Il stimule la production de salive et maintient l’efficacité des minéraux salivaires, ce qui contribue à la protection contre la carie. Il a été prouvé que le xylitol diminue la capacité des bactéries à adhérer à la surface des dents et empêche la prolifération des bactéries nuisibles, ce qui aide à combattre la plaque dentaire.

Le sucre est-il toxique, un poison et une drogue ?

Dans un récent article  très complet et supporté par une recherche exhaustive (avril 2011), des chercheurs comparent le sucre à rien de moins qu’à un produit toxique. D’autres le considèrent comme un poison ou une drogue, pouvant mener à des problèmes d’addiction au même titre que le tabac ou l’alcool. De plus, l'augmentation sans cesse croissante de la consommation de sucres serait responsable, entre autre, de l'épidémie d’obésité affectant maintenant les américains.
http://www.parolesvivantes.com/sante_aliments_toxiques.htm#soja