Regardez cette vidéo: ou bien c'est un montage, très bien fait du reste!... ou bien c'est vrai!....
A mon tour j'aimerais bien en rencontrer et pouvoir, qui sait?,...
communiquer avec elles!
En fouillant sur Google, j'ai trouvé l'histoire de cet homme qui avait rencontré sur son chemin; pendant un orage, des fées. Il a écrit ensuite son expérience et exécuté quelques dessins. Son ami et confident a lui aussi voulu voir les fées, mais personne ne sait s'il y est parvenu. Cet homme s'appellait Louis Rossignol. Vous trouverez son histoire en cherchant sur internet. Mais je suis convaincue que cet homme a réellement vu les fées. Il a écrit ce qui lui est arrivé et le ton est sincère et j'ai senti à travers le peu qu'il a écrit un homme à la fois fasciné et très malheureux de ne pouvoir pas en discuter librement, de peur de passer pour un fou.
La disparition de cet homme reste une énigme.
Ce qui m'étonne dans cette histoire, c'est le dessin du pendentif: lorsque je l'ai vu, j'ai immédiatement pensé à un dessin de James Churchward; il n'y a peut-être aucune liaison, mais j'ai pensé au paradis perdu de Mu, cette terre qui a disparu sans laisser (soi-disant) de traces.
voici le dessin de James Churchward j'y vois une similitude même si c'est différent |
Les dessins de scarabée (celui de Louis et celui de son ami) aussi m'interpellent: cet insecte était très présent dans l'Egypte. Je crois que les peuples et civilisations antiques et celles dont on n'a pas encore découvert les vestiges avaient des relations très étroites avec toute la nature, avec la création; ils savaient ce que nous ignorons encore car nous nous sommes coupés de la nature depuis trop longtemps.
Dans l’Égypte pharaoniqueUn scarabée sur l’amulette du vizir Paser,
membre de l’administration de Thèbes.
Louvre.
"Luis de los rossi–oles habite dans un pueblito dans la vallée de Oaxaca au sud de l'état du même nom au Mexique. C'est un vieux colon, un gringo à tête blanche qui habite au milieu des zapoteques à Herve El agua... Ici tout le monde le connait mais personne ne sait d'où il vient. C'est le seul étranger du village, il a appris le zapoteque, enseigne aux enfants de l'école la géographie mondiale... Etrange pourtant, il dit ne se souvenir de rien, ni de son enfance ni de sa jeunesse. Il ne sait pas comment il est arrivé ici et aucun habitant du village ne peut se résoudre à en parler aux etrangers. Tout se qu'on se borne à dire à ceux qui posent trop de questions, c'est une phrase laconique: "...il a juste dit qu'il s'appellait Luis de los rossi–oles et puis il est resté là, c'est tout..." A quelques centaines de mètres du village, il reste deux grands bassins construits par les zapoteques bien avant l'arrivée des colons espagnols. Alimentés par de l'eau sulfureuse et perchés tout en haut des cascades petrifiées de Herve El agua, c'est le lieu préfèré des villageois pour venir se reposer en famille. Les mères aussi aiment les vertus assechantes et bienfaisantes de l'eau sulfureuse sur la peau de leurs enfants. Le soir, quand la lune est pleine, toute la vallée en dessous baigne dans une lumière claire et calme, les bassins creusés dans les roches plates de la montagne prennent des allures lunaires... Et ces soirs-la, tard dans la nuit, racontent les paysans qui reviennent des champs lointains dans la sierra, Luis de los rossi–oles est assis là, seul au bord de l'eau..."
Ma conclusion:
Les fées ont annoncé à Louis Rossignol qu'elles pourraient le transformer et elles l'ont fait! S'était-il retrouvé au Mexique, au bord d'un point d'eau, entouré de ses fées? La téléportation quantique est une réalité, à quand la téléportation de la matière? Les fées, elles, savent peut-être s'en servir!!
Le cristal, étonnant et mystérieux
L’Égypte a vénéré plusieurs espèces de scarabée, en
particulier le Scarabaeus sacer. Scarabée ḫpr Le hiéroglyphe pour « scarabée » est un trilitère phonétique que les égyptologues transcrivent par ḫpr et qui pourrait signifier « apparaître », « devenir » ou « se transformer ». Le mot dérivé ḫpr(w) est traduit indifféremment comme « forme », « transformation », « événement », « façon d’être » ou « ce qui est apparu », selon le contexte. Sa signification est tantôt concrète, fictionnelle ou ontologique.
Le scarabée était consacré à Khépri (« Celui qui est apparu »), dieu du soleil levant. Les Anciens pensaient que les scarabées étaient des mâles et se reproduisaient en déposant leur semence dans une pelote d’excréments. L’autogenèse du scarabée leur paraissait faire écho à celle de Khépri, qui lui-même semble naître du néant. D’ailleurs, la pelote roulée par le bousier est un symbole du Soleil. Plutarque écrivit à ce sujet : «La race des scarabées n’a pas de femelles, tous les mâles projettent leur semence dans une pelote sphérique de débris qu’ils font rouler en la poussant d’un côté, exactement comme le Soleil semble pousser les cieux dans sa course, c’est-à-dire en sens inverse, d’ouest en est».
L'ami de Louis Rossignol a fait des dessins aussi surprenants. Pour en savoir plus, il faut aller sur le site dont le lien suit:
http://lejournaldesfees.free.fr/pages/pagegdliv/dessins.html
http://lejournaldesfees.free.fr/pages/pagegdliv/dessins.html
Serait-ce une allusion au sceau de Salomon? ou bien le symbole alchimique du mercure mélangé à l'or? Quant au cercle partant de l'oeil le symbole alchimique du mercure est encore représenté, mais sans l'or.
Le sceau de Salomon? Ce haut symbole était détenu par Salomon, fils du roi David, qui hérita du trône de son père au Xème siècle avant J.C. Porteur, entre autres choses, de la sagesse divine, l’anneau du monarque lui permit de devenir célèbre, notamment pour son jugement.l’anneau de Salomon ou l’hexagramme est le fruit d’une symbolique très riche, traduisant la sagesse surhumaine, la monarchie de droit divin, mais également le lien entre la science, la métaphysique et la beauté, la maîtrise des forces de la nature, la paix, etc. Traditionnellement, alors que le pentagramme symbolise le Microcosme, l’hexagramme étoilé – ou le sceau de Salomon – se réfère au Macrocosme, un des triangles signifiant la Matière, tandis que l’autre représente l’Esprit. Enfin, l’entrelacement traduit le passage de l’un à l’autre. La logique peut également orienter la symbolique vers le Masculin et le Féminin, avec le même mécanisme de communication entre les deux. D’autres y voient la rencontre du Feu et de l’Eau…Véritable symbole universel, l’hexagramme pénétra l’Islam à travers l’Egypte copte, dès le VIème siècle, mais il ne devint un motif religieux, associé au roi Salomon, qu’à la fin du VIIIème siècle. Frappé sur les pièces de monnaie, gravé sur les objets familiers, comme les amulettes ou les talismans, sculpté sur les murailles d’enceinte des villes, le sceau de Salomon est enfin un symbole protecteur. Apparaissant dans la Bible, les manuscrits hébraïques, ou intégré dans la Kaballe, à travers l’anneau, l’homme scelle son destin dans un cercle magique, inaccessible aux démons et aux mauvais génies.http://kazaprof1.blogspot.com/2012/05/le-sceau-de-salomon-ce-haut-symbole.html |
Quel savoir ou quel message ont voulu transmettre ces fées à Louis Rossignol? Sa disparition, autant énigmatique que rapide, devrait nous pousser à chercher à savoir ce que représente ces dessins.
Le dessin ci-dessous me fait penser aux trois règnes: végétal, humain et animal.
Les lignes discontinues partant des yeux et les lignes partant de l'oreille indiquent les sens de l'humain: la vue et l'ouie.
Les points et les lignes me font penser aux méridiens d'acupuncture, deux cercles (un petit chevauchant un grand) peuvent représenter le 7ème chakra, ou bien la pensée et l'esprit de l'humain..
Les chiffres 1, 2, 3 et 4 peuvent signifier l'ordre d'apparition de ces différents règnes et espèces vivantes: l'homme est arrivé en dernier.
La grenouille, au même titre que le scarabée est un symbole égyptien signifiant : "renaissance, transformation"
Que signifient les symboles écrits en face de A, B et C?
Cela ressemble beaucoup à l'alphabet Grec
Voici l'histoire de Louis Rossignol
Je m'appelle Louis Rossignol, j'habite un village reculé du centre de la France au nom curieux de St Dizier Leyrenne. Ce village de la Creuse tient son nom du cours d'eau qui le traverse : la Leyrenne. Aujourd'hui, lundi 4 août 1928 (j'ai oublié de mentionner mon âge - c'est important, car certains me pensent gâteux, j'ai 68 ans.), j'ai vu des fées. Je rentrais par la route de Murat à St Dizier. Je hâtais le pas, d'abord parce qu'on m'attendait, ensuite parce que le temps devenait très menaçant. Je ne marche pas très vite, j'ai une canne, et les sabots ne me permettent pas de courir, aussi, faisais-je de mon mieux. Les orages dans cette région sont plutôt mauvais et il est préférable de ne pas s'attarder quand on les sent approcher. Les odeurs de la journée remontaient du sol sous l'effet de la chaleur et de l'humidité ambiante. Le ciel était noir sur Belleseauve, signe que l'orage n'allait pas tarder à arriver sur St Dizier. Cette route, si l'on peut appeler cela une route, est à découvert sur toute sa longueur. Seul un vieux chêne à mi-parcours pourrait permettre de s'abriter si l'orage venait soudainement. Je me hâtais donc vers cet arbre. Et ce que je redoutais ne manqua pas de se produire. Un grand crac retentit avant même que j'ai pu atteindre le chêne et quelques minutes après une violente averse s'abattit. Je réussis à rejoindre l'arbre, mais évidemment j'étais trempé (ce qui à mon âge est loin d'être recommandé).
Le ciel était très sombre, comme s'il faisait soudainement nuit. Je tiens à préciser que j'avais beau être à l'abri, je ne me sentais pas pour autant en sécurité. Tout le monde sait bien qu'il ne faut pas s'abriter sous un arbre lorsqu'il y a de l'orage. Mais à mon âge, je ne vais pas m'allonger dans l'herbe au milieu des prés. Ce qui pour moi s'avérerait beaucoup plus dangereux. Je risquerais de ne pas pouvoir me relever, de me coincer à tout jamais et d'attraper la grippe ou un rhume qui me coûterait la vie. Il faisait très sombre, et seuls les éclairs illuminaient le paysage quelques instants. Mais j'avais remarqué autre chose qui n'avait rien à voir avec les éclairs. Là où je sais que se trouve un ruisseau, en deçà de l'arbre où je me trouvais, il y avait comme des petites lumières. Pas des étincelles, non, des petites lueurs qui dansaient les unes avec les autres. C'était très étrange. Ce phénomène ressemblait à des feux follets. Mais compte tenu du temps, il semblait improbable que des flammes même minuscules aient pu tenir longtemps sous cette pluie. Je ne manquais cependant pas de me signer. Ce phénomène était beau et envoûtant, mais aussi inquiétant. Je ne pouvais détacher mon regard de ces lueurs qui se reflétaient dans le cours d'eau et j'ai du mal à savoir combien de temps j'ai observé cela avant de bouger. J'ai toujours été très curieux et je n'avais qu'une envie, c'était de m'approcher. Alors je me lançais. J'avançais doucement, mais plus je m'approchais et plus je me demandais ce dont il pouvait bien s'agir. L'orage ne diminuait pas, mais je ne sentais plus la pluie.
Arrivé à quelques mètres, les lumières qui tourbillonnaient se figèrent en l'air. Je pensais immédiatement qu'elles m'avaient repéré. J'arrêtais alors ma progression. Après avoir passé plusieurs minutes à s'observer mutuellement (j'imagine qu'elles m'observaient, bien qu'à ce moment là, je me demandais encore s'il ne s'agissait pas de gros insectes luisants). Les lumières reprirent leur activité tourbillonnante et moi, je repris ma progression. Arrivé à environ 3 mètres, je vis vraiment ce dont il s'agissait. Quoique le terme vraiment ne corresponde pas tout-à-fait à ce que j'avais devant les yeux.
Des fées, c'était des fées. Des petits êtres de sexe féminin avec des ailes dans le dos. Une lueur bleue phosphorescente émanait de leur corps. Elles jouaient ensemble en poussant de drôles de petits cris qui ressemblaient vaguement à des rires ou à des pépiements d'oiseaux. A ce moment précis, je ne bougeais plus du tout. Je me souvenais pas de ma vie d'avoir aussi peu bougé. Sauf peut-être à la chasse devant du gibier.
Maintenant que je voyais ce que c'était, j'étais sûr qu'elles m'avaient repéré. Comment pouvait-il en être autrement. Les fées savent forcément tout de tout. En fait, j'étais étonné mais pas comme pourrait l'être un citadin. Dans nos régions, nous sommes habitués aux histoires de lutins, de farfadets, de diables et de lavandières qui lavent les linceuls des morts la nuit. Ces histoires nourrissent nos veillées. On n'y croit pas, mais on évite certains soirs de prendre certains chemins, seuls de surcroît. On évite d'ailleurs d'avoir à sortir le soir ou bien, contraint et forcé, muni d'une lanterne accompagné de préférence, et surtout pas autour de minuit. Mais aujourd'hui, ce n'était pas le soir, même si tout était disposé à nous le faire croire. Je n'avais pas remarqué au départ, mais les fées jouaient avec un lapin.
Elles lui tiraient les poils du museau. Cela n'avait pas l'air de lui déplaire. J'avais peur qu'elles m'aient vu, mais finalement non. Après un mouvement léger, le lapin, qui lui me vit, s'enfuit d'un bond aussitôt. Au même moment, les fées se regroupèrent et me regardèrent. Je voyais qu'elles ne savaient que faire. De mon côté, je ne bougeais plus. Inutile de dire que j'étais trempé car l'orage n'avait pas faibli. Je me retrouvais finalement dans la position que je redoutais au départ, allongé dans l'herbe.
Demain, si j'étais encore en vie, je souffrirai atrocement de courbatures et de rhumatismes. Les fées semblaient se parler. La pluie ne les touchait pas. On dirait que la lumière qui les entourait les protégeait des gouttes. Je ne comprenais évidemment pas un traître mot de ce qu'elles se racontaient et pourtant ce langage me semblait familier. Les sons étaient très aigüs et très faibles, un peu comme des petites souris. Ce n'était pas très agréable. De temps en temps, il y avait des hausses de ton et puis tout redevenait normal.
J'étais là comme un idiot, 68 ans, allongé dans l'herbe, sous la pluie à attendre la décision de mesdames les fées. Au moment même où je me disais cela, je décidais de me relever. Toutes fées qu'elles soient, elles n'allaient tout de même pas m'en empêcher. Cela les cloua sur place et mit fin à leurs conciliabules. Aussitôt, l'une d'elle vola vers moi et m'ordonna avec une voix qui semblait venir d'ailleurs de me rasseoir. Cette fois j'avais compris. Inutile de dire que mes jambes ne m'aidèrent pas à rester debout. Cette voix était incroyable. Elle semblait sortir des profondeurs d'un gouffre. Comment un si petit corps pouvait produire un son comme celui-ci. Lorsque je fus assis, elle reprit la parole, cette fois avec une voix douce et légère. "Mortel, ce que tu as vu, tu n'aurais pas du le voir, en tous cas pas maintenant. Nous savons que ton cerveau ne pourra pas oublier cet instant, nous n'allons même pas essayer de te le faire oublier. Alors, que comptes-tu faire maintenant ? "
Je restais bouche bée. Maintenant, normalement, j'allais boire un café au chaud avec quelques gâteaux, s'il n'y avait eu ce maudit orage. Je n'allais tout de même pas répondre cela. "Je ne sais pas." C'est tout ce que je réussis à articuler. "Mortel, tu as le choix. Soit tu racontes ce que tu as vu. Auquel cas, personne ne te croira tu passeras pour un fou et nous disparaîtrons de ton existence à tout jamais. Ou bien tu ne racontes rien à personne et nous nous reverrons prochainement. Nous nous connaissons déjà Louis Rossignol, même si tu ne t'en souviens pas. Nous savons que tu es un homme curieux. Aussi, nous te laissons le choix.
Le choix ne fut pas difficile à faire. Quand on rencontre des fées, on n'a plus jamais envie de les quitter. Je ne comprenais cependant pas ce qu'elles voulaient dire par "nous te connaissons déjà".
"Nous attendons ta réponse." Ma pensée n'était plus si rapide et j'avais du paraître indécis. "J'accepte, j'accepte", hurlais-je. J'accepte de vous revoir et de ne rien raconter. A ce moment, je ne me rendais pas compte combien cela allait être compliqué. "Mortel, promets sur ton honneur." Et je promis.
Une des fées me remit un pendentif censé m'apporter paix, prospérité, chance et félicité. Puis elles disparurent, leur petite lumière s'éteignant dans la pénombre de cette fin d'après-midi orageux. Je n'avais plus qu'à rentrer mon pendentif dans la poche et une formidable envie de tout raconter. Mais j'avais promis. La pluie s'était arrêtée quelques minutes après, faisant place à une douce chaleur qui s'annonçait étouffante pour le soir.
Une fois arrivé à la maison, ma sœur ne manqua pas de me demander ce qui m'était arrivé. Je répondis logiquement que je m'étais laissé prendre par l'orage. Ce qui était vrai.
"Regarde-toi, tu as vu dans quel état tu t'es mis" me dit-elle.
Il est évident que je faisais peine à voir : ma chemise débraillée, mon pantalon trempé et mes pieds nageant dans mes sabots.
"Je vais te faire chauffer de l'eau, tu vas te laver et me donner tes vêtements à sécher."
J'obéis.
Je fais une aparté pour expliquer ma situation familiale. Ma femme est décédée et vu mon âge, j'ai préféré m'installer avec ma sœur et son mari. Ma fille habite à Paris et je ne la vois pas souvent.
J'allais me laver, ce qui me fit un bien fou. Et je donnais mes vêtements à ma sœur. En vidant mes poches, elle trouva le pendentif et dès que je fus sorti, elle me demanda ce que c'était. Je ne me souviens même plus de ce que j'ai répondu exactement. En tous cas, je lui arrachais des mains et cela la surprit. Elle me fit son refrain classique: "on s'occupe de toi et voilà comment Monsieur vous remercie" et blabla et blabla.
Je préférais la laisser causer et j'allais dans ma chambre au premier. C'est là que je décidais de rédiger le journal de cette incroyable expérience.
Quand vint l'heure du dîner, tout était oublié. J'avais hâte qu'on soit le lendemain pour pouvoir essayer les vertus soi-disant magiques du pendentif. Il y avait une loterie au village et j'étais bien décidé à jouer et à gagner. Je n'avais pas très faim et je me sentais fatigué. Les épreuves comme celle-ci ne sont plus faites pour moi. Je montais me coucher après avoir peu mangé. La nuit fut pénible. J'eus des sueurs froides et des aigreurs d'estomacs. Je finis par m'endormir vers le matin et me réveillais très tard. Je racontais ma nuit difficile à ma sœur et son mari mais ils ne s'en étonnèrent pas. Moi non plus d'ailleurs. Quand on passe plusieurs heures sous la pluie, à mon âge, ça pardonne rarement. Je décidais donc, avec regrets de ne pas faire d'exploits aujourd'hui et d'abandonner l'idée d'aller à la loterie.
Le temps était magnifique et je passais l'après-midi sous le tilleul du jardin, me demandant quand et comment je reverrais les fées. J'observais les fleurs du jardin pour lesquelles ma sœur se donnait tant de mal. Je laissais mon imagination divaguer et je voyais des fées voleter dans les massifs de lupins. Je faisais un croquis de ma vision
.
J'espérais un nouveau contact avec impatience, mais je sentais que ce ne serait pas pour aujourd'hui. La journée se passa calmement. Ma sœur et son mari allèrent au village. Ils jouèrent à la loterie, mais évidemment ne gagnèrent rien. Ah si seulement j'avais été avec eux.
MARDI 5 AOÛT.
J'ai attendu toute la journée, mais pas la moindre manifestation. Je suis retourné près du ruisseau, mais j'ai juste aperçu quelques ragondins qui se sont enfuis à mon approche.
Si j'avais eu mon fusil...
MERCREDI 6 AOÛT
C'est sûr, elles ne viendront plus. Elles m'ont menti. Je suis là à tenir une promesse dont tout le monde se contrefiche. Si elles ne se manifestent pas demain, je dis tout.
JEUDI 7 AOÛT
Dieu que les journées d'été peuvent être longues. Finalement j'ai réfléchi, je ne dirai rien. Pour quoi faire ? Elles ont raison. Personne ne me croirait de toutes façons. J'en serais quitte pour être ridicule. On a déjà tendance au village à me considérer comme "un drôle de gars". Ce n'est vraiment pas la peine d'en rajouter.
VENDREDI 8 AOÛT
Ce matin, j'ai été réveillé par un petit bruit au volet, un petit toc répétitif. Je pensais d'abord à un oiseau, mais les piverts ne s'attaquent pas aux volets. J'ouvrais la fenêtre. Elle était là ou plutôt, il y en avait une, une fée. Elle me dit de m'habiller et de la suivre. Il était tôt, cinq heures environ. J'enfilais rapidement mes vêtements et je descendais. J'avais toujours le porte-bonheur sur moi, et il me semblait, ces derniers temps, moins sentir mes vieilles douleurs. Il faisait encore nuit et c'était presque amusant de suivre cette flammèche bleue dans la nuit. Nous suivîmes la route un moment puis nous prîmes un sentier qui s'enfonçait dans les bois. Jusque là, j'arrivais encore à imaginer où nous nous trouvions : forêt des Bruges, premier chemin, bifurcation à gauche. Et après je ne sais plus. Un chemin, un sentier, une clairière, à nouveau le bois pour finir au pied d'un vieux chêne. Les fées étaient toutes là (du moins, c'est ce que je croyais).
Elles couraient sur les mousses et voletaient de l'une à l'autre. "Le mortel, le mortel" criaient-elles. Cette nuée de loupiotes bleues me ravissait. L'un d'elle sortit du rang. "Sais-tu mortel que tu as mis la colonie en émoi. Nous t'observons depuis plusieurs jours et nous savons que tu as tenu parole. L'envie est souvent si forte pour un mortel de parler... Tu as bien fait de tenir ta langue. Si tu avais parlé, les jours qui auraient suivi, tu aurais commencé à perdre la raison puis tu aurais fini fou. Ils sont nombreux dans les hôpitaux pour déséquilibrés à avoir croisé notre chemin. Si l'intention t'en prends un jour, réfléchis bien.
Nous traversâmes d'autres bois, je reconnus quelques endroits où je venais chaque année ramasser du muguet. Je connaissais bien cette forêt, mais là j'étais perdu. Je n'avais aucune idée de l'endroit où elles voulaient m'emmener. Mais la curiosité était trop forte. J'avais confiance. Mais peut-être avais-je tort.
Nous finîmes par arriver dans une petite clairière au milieu d'une forêt de hauts sapins. Le sol était recouvert d'épines. Et là, où rien ne survit sauf quelques pauvres champignons, se trouvait une petite mare (je dis mare, mais il y avait très peu d'eau). Il y poussait toutes sortes de plantes assez rares dans cette région. C'était comme une oasis au milieu des bois.
Toutes les fées étaient réunies autour. Elles n'étaient pas là pour moi évidemment. Non elles étaient là pour quelque-chose de précis et semble-t-il important. Elles avaient l'air d'attendre un événement particulier. Elles parlaient et chantonnaient. Elles bourdonnaient tel un essaim d'abeilles.
Le jour n'allait pas tarder à se lever.
Quand elles me virent, elle s'approchèrent et m'entourèrent. J'étais irradié de leur lueur bleutée. Leurs petites ailes me frôlaient le visage.
Soudain une première trouée de lumière traversa les arbres. A partir de ce moment-là, je n'existais plus. Toutes les fées s'envolèrent vers cette lumière et entamèrent une drôle de danse. Les rayons du soleil semblaient glisser sur elle comme l'eau d'une cascade. Et puis la lumière devint plus violente et je dus fermer les yeux. Lorsque je les rouvrais, la plupart des fées avaient disparu. On m'expliqua après, qu'elles étaient reparties en faérie, pays des fées. Il semble que les premiers rayons du soleil, dans certains endroits, servent de porte pour accéder au royaume des fées. Je me demandais, pourquoi moi, simple mortel, on m'avait permis d'assister à ce spectacle miraculeux.
Je restais là de nombreuses minutes à regarder les dernières fées qui disparaissaient dans les bois. Ma rêverie se prolongea un moment, mais une fée vint me tirer de cet état et me parla.
"Tu dois te demander pourquoi nous te montrons tout cela. Sache qu'autrefois, tu as bien agi pour les fées, et les fées t'en sont redevables."
Je m'étonnais et me demandais bien de quoi elles voulaient parler. Je sentais bien cependant que je ne pourrais avoir plus d'informations cette fois-ci.
J'osais demander son nom à la fée qui me faisait l'honneur de m'adresser la parole. Elle s'approcha de mon oreille et murmura "Maerope". Puis elle commença à me raconter tout un tas de choses. Certaines étaient claires, d'autres pas. Je comprenais qu'elle me parlait de sa vie, mais j'étais incapable de donner un sens à ce qu'elle disait. Cela me procura une douce sensation dans l'oreille qui finit par envahir tout mon corps et je m'endormais.
Quand je repris mes esprits, toutes les fées avaient disparu.
Je rentrais chez moi machinalement, sans trop savoir comment. Le chemin du retour était comme inscrit dans ma tête. Je fus à la maison en très peu de temps, contrairement à l'aller qui m'avait semblé durer des heures.
Quand j'arrivais, j'étais très fatigué. Il était environ onze heure du matin et ma sœur me tomba dessus dès que je franchis le pas de la porte. Tout le monde s'était inquiété de mon absence. Ma sœur me traita de fou, elle me dit que les gens du village avaient raison. Je lui répondais que je me fichais des gens du village. "Ou étais-je passé, qu'avais-je fait ?", les questions fusaient. Elle me dit même que si je n'avais pas eu mon âge, elle aurait pu croire à une aventure sentimentale. Ma sœur est folle. Je n'essayais pas de me justifier et dis simplement que je m'étais réveillé tôt et comme je n'arrivais pas à me rendormir, j'étais sorti. Ma sœur à qui ils n'arrivait plus rien depuis longtemps m'en voulait beaucoup de lui cacher des choses. Au déjeuner, j'eus droit à de nombreux sous-entendus. Son mari dans ces cas là se faisait tout petit et disparaissait soit dans une autre pièce, soit derrière son journal, ou même derrière sa femme. Cela énervait beaucoup cette dernière qui se demandait souvent où se trouvait son bougre de mari, alors qu'il était simplement derrière elle. Je finissais le repas rapidement et grimpais à l'étage, dans ma chambre, les laissant seuls tous les deux. Je rédigeais les lignes qui précèdent.
Quand je redescendais l'après-midi, ils s'étaient calmés. Le mari de ma sœur me parla un peu. Il me supplia d'être un peu plus aimable avec sa femme, parce qu'après, c'est lui qui devait la supporter. Je lui promis de faire de mon mieux, tout en sachant, que cela ne suffirait pas.
J'étais assis dans un fauteuil quand il me prit soudain l'envie de dessiner.
Cela n'avait aucun sens : un scarabée, ou plus précisément une lucane, une grenouille, une feuille, et un visage. Le tout parcouru de lignes et de points. Qu'est-ce-que cela signifiait ? D'où sortaient ces idées. Cela m'inquiétait. Les fées étaient sûrement pour quelque-chose dans cette affaire. Ce dessin me hanta toute la soirée et je ne parlais plus. Une autre chose me préoccupait : qu'avaient-elles voulu dire par: "autrefois tu as bien agi pour les fées". Je ne voyais absolument pas à quoi elles faisaient référence.
SAMEDI 9 AOÛT
Cette nuit, j'ai fait un rêve étrange. Je voyais un jeune enfant ramasser une fée par terre. Cela me réveilla et je gardais les yeux ouverts un moment. Tout cela commençait sérieusement à me perturber. Je me suis levé épuisé. Je vois ma sœur de plus en plus inquiète. J'ai fait la sieste et je me suis réveillé pour le dîner. Tout le monde a été aux petits soins. Des voisins sont passés en fin de soirée pour prendre de mes nouvelles. Dieu sait ce que ma sœur a encore été raconter autour. En tous cas, ce soir, je me sens mieux. Je suis remonté dans ma chambre et j'ai refait un drôle de dessin.
Je me suis arrêté en route, mais où m'aurait-il emmené celui-ci. Il y a une fée, un arbre , les point A, B, C et un début de scarabée.
DIMANCHE 10 AOUT
A quatorze heures, après le déjeuner, j'ai annoncé que je devais, cet après-midi me rendre aux Roches de Mazuras. Ma sœur et son mari m'ont regardé éberlués, chacun se demandant sûrement ce que je pouvais bien vouloir aller faire la-bas. Moi-même, je me le demandais, car je n'avais aucune raison. J'avais juste un besoin impérieux. Ma sœur me rappela avec une certaine ironie que cela se trouvait à une quinzaine de kilomètres, chose que je savais. J'avais même décidé de lui emprunter son vélo. "A ton âge, tu auras l'air malin sur ton vélo. Dès la sortie du village, on n'aura plus qu'à te ramener sur une civière." Au fond elle n'avait pas tort, mais je me sentais en pleine forme et il fallait que j'y aille. Je partais sur le champ. En façade, ma sœur souriait mais je savais qu'elle était vraiment inquiète. Le chemin ne me paru ni long, ni difficile et j'en fus le premier étonné. J'attribuais ma vitalité au pendentif que j'avais eu la bonne idée d'enfiler hier.
Arrivé sur les hauteurs de Mazuras, le temps s'annonçait menaçant, mais je savais que l'orage ne serait pas pour ce soir. A l'entrée du chemin, passés la petite chapelle et l'ancien cimetière, je descendais de vélo et décidais de finir à pied. Les roches de Mazuras constituent un promontoire duquel on peut voir tous les environs. Cet endroit possède un charme très étrange, presque mystique, et ce déjà bien avant les débuts de cette histoire. Arrivé au bas des roches, je déposais ma bicyclette et finissais de grimper à pied. En haut, évidemment, Maerope m'attendait.
"Te voila enfin. J'avais peur que tu n'entendes pas mon appel. Comment te sens-tu ?"
Je lui répondais que tout allait bien mais que je commençais à avoir de drôles d'images dans la tête. Je lui parlais des dessins et elle me répondit simplement que c'étaient les connaissances qui entraient en moi. Elle me demanda si j'avais rêvé et je lui répondis que oui. Je lui racontais le rêve avec l'enfant et la fée.
"Enfin tu te souviens."
Je ne voyais pas ce qu'elle voulait dire.
"Quand tu étais enfant, ne te souviens-tu pas d'avoir empêché le chat de la maison de dévorer une fée?"
L'épisode qu'elle me remémorait m'avait marqué, mais il ne s'agissait pas d'une fée.
Dans la maison où j'avais passé mon enfance, il y avait un chat qui ramenait régulièrement des souris et des oiseaux morts. On l'avait surnommé Lucifer. Je me souvenais en particulier d'une fois où j'avais entendu des petits cris et des miaulements. J'étais sorti de la maison et j'avais surpris Lucifer avec un oiseau dans la bouche. J'avais du lui courir après pour l'empêcher de dévorer le pauvre volatile. Il avait failli m'échapper, mais je m'étais jeté sur lui juste avant qu'il ne sorte du jardin. J'étais revenu le pantalon déchiré, mais l'oiseau était sauf.
"Es-tu certain qu'il s'agissait d'un oiseau ?"
"Bien sûr qu'il s'agissait d'un oiseau. Que veux-tu que ce fut d'autre ?"
"Réfléchis. Ferme les yeux et repense à ce moment." me dit-elle.
Les images étaient floues. Je voyais Lucifer avec son oiseau. Je me voyais enfant, l'oiseau dans les mains. Je me voyais le poser sur le sol et je le voyais s'envoler.
Maintenant que j'y pense, cet oiseau ressemblait plus à une libellule qu'à un oiseau. Enfin, ce n'était pas non plus une libellule.
"C'était une fée." dit Maerope.
La conversation dura un petit moment et elle finit par me convaincre.
Maintenant, je voyais Lucifer avec une fée dans la bouche.
Elle m'expliqua que cette fée avait substitué dans mon esprit, son image à celle d'un oiseau.
"Pourrais-tu m'expliquer pourquoi je suis là et pourquoi tu me racontes tout cela ?"
"Tu es là parce que la fin est proche."
Que voulait-elle dire ?
"Je vais mourir?"
"Je suis ici pour assouvir ton désir de connaissances."
"Réponds-moi, je vais mourir ? Je suis vieux, je peux l'accepter."
"Non, ce n'est pas cela. Approche-toi."
De nouveau, elle me parla dans l'oreille. Elle me racontait tout sur les fées et j'écoutais émerveillé. Le ciel n'existait plus. Le sol n'existait plus. Il n'y avait plus rien autour. J'étais fasciné et je voulais tout mémoriser pour tout écrire.
Et puis à nouveau, je me réveillais seul au pied des rochers. J'avais du mal à respirer et une curieuse douleur dans le bras gauche. J'avais sûrement du m'endormir dessus.
Plus de fée. Le ciel était noir, c'était la nuit.
A cette heure, l'endroit était encore plus étrange. La lune éclairait les pierres blanches rassemblées sous le bois de sapin à l'entrée du chemin. Je passais devant, mon vélo à mes côtés. Ces pierres m'évoquaient des rites païens, proches de la sorcellerie. Ces pierres avaient-elles une histoire? Je hâtais le pas.
Le cimetière et la chapelle près de la route prenaient un aspect lugubre et j'avais hâte d'être rentré.
Le chemin du retour fut difficile. Heureusement, la lune éclairait la route.
J'arrivais épuisé.
Ma sœur et son mari étaient heureux de voir que je n'étais pas mort. Mais leur regard n'avait rien pour me rassurer sur mon état physique.
Tout ce qu'ils trouvèrent à dire c'est "ça va ?"
Je répondis juste que j'étais fatigué et que préférais aller me coucher.
Ma sœur avait fait le ménage. Cela se voyait et je n'aimais pas ça.
Je sortais le journal du bureau et trouvais encore le courage de rédiger l'aventure de cette journée. Demain, je ferai un chapitre entièrement dédié à ce que m'a dit Maerope. J'espère ne rien oublier pendant la nuit.
LUNDI 11 AOÛT
Je viens de me lever. Je suis très fatigué. Je vais aller me laver.
Peut-être que cela ira mieux après.
ELLE A TOUT RACONTÉ.
Ma sœur a trouvé le journal. Elle a tout lu.
Ce matin je suis allé au village et quand je suis entré au café, quelqu'un m'a demandé des nouvelles de mes fées. Tout le monde a ri.
Je suis rentré au plus vite.
Elle m'a avoué qu'elle s'inquiétait alors elle est monté et a fouillé ma chambre pour voir ce que je pouvais y faire pendant toutes ces heures.
que va t-il se passer?
Je dois les prévenir...
Ainsi se termine le journal.
Suivent, plusieurs pages après, quelques peintures, mais qui ont pu être faites avant les dernières lignes.
Le contenu
- une centaine de pages manuscrites à l'encre noir (y compris les dessins).
- une centaine de pages manuscrites à l'encre noir (y compris les dessins).
- une trentaine d'illustrations, techniques diverses (aquarelle, crayon, plume)
Le texte et les illustrations sont répartis de manière régulière au début. Ensuite, le texte s'arrête net et les dessins se poursuivent sans ordre ni informations particulières sur plusieurs pages.
Les premières illustrations sont raisonnables et réalistes, tandis que par la suite tout semble abstrait et difficile à décrypter.
Un curieux e-mail en provenance du Mexique
"Luis de los rossi–oles habite dans un pueblito dans la vallée de Oaxaca au sud de l'état du même nom au Mexique. C'est un vieux colon, un gringo à tête blanche qui habite au milieu des zapoteques à Herve El agua... Ici tout le monde le connait mais personne ne sait d'où il vient. C'est le seul étranger du village, il a appris le zapoteque, enseigne aux enfants de l'école la géographie mondiale... Etrange pourtant, il dit ne se souvenir de rien, ni de son enfance ni de sa jeunesse. Il ne sait pas comment il est arrivé ici et aucun habitant du village ne peut se résoudre à en parler aux etrangers. Tout se qu'on se borne à dire à ceux qui posent trop de questions, c'est une phrase laconique: "...il a juste dit qu'il s'appellait Luis de los rossi–oles et puis il est resté là, c'est tout..." A quelques centaines de mètres du village, il reste deux grands bassins construits par les zapoteques bien avant l'arrivée des colons espagnols. Alimentés par de l'eau sulfureuse et perchés tout en haut des cascades petrifiées de Herve El agua, c'est le lieu préfèré des villageois pour venir se reposer en famille. Les mères aussi aiment les vertus assechantes et bienfaisantes de l'eau sulfureuse sur la peau de leurs enfants. Le soir, quand la lune est pleine, toute la vallée en dessous baigne dans une lumière claire et calme, les bassins creusés dans les roches plates de la montagne prennent des allures lunaires... Et ces soirs-la, tard dans la nuit, racontent les paysans qui reviennent des champs lointains dans la sierra, Luis de los rossi–oles est assis là, seul au bord de l'eau..."
"Je n'ose croire que mon arrière grand-père se trouve au Mexique.
Pourtant, l'idée serait séduisante.
Cela lui ferait dans les 140 ans... C'est beaucoup.
Mais son histoire est déjà tellement étrange."
Ma conclusion:
Les fées ont annoncé à Louis Rossignol qu'elles pourraient le transformer et elles l'ont fait! S'était-il retrouvé au Mexique, au bord d'un point d'eau, entouré de ses fées? La téléportation quantique est une réalité, à quand la téléportation de la matière? Les fées, elles, savent peut-être s'en servir!!
Crop-circles, lignes de Nazca, grottes ornées, peintures rupestres
Témoignages muets magnifiques
sur lesquels notre civilisation s'interroge depuis leurs découvertes
les géoglyphes de la plaine de Nazca au Pérou
les "roues" de pierre au Moyen-Orient,http://decouvertes-archeologiques.blogspot.com/2011/09/moyen-orient-comme-nazca-des-centaines.html
les peintures rupestres au Maroc,
les géoglyphes en Amazonie
les gravures des grottes
les cercles de culture (crop-circle)
crop-circle 2009 aux Pays-Bas |
Une théorie a retenu mon attention: celle de Tom Sutter
Tom Sutter en est arrivé à reproduire des schémas techniques en vue de protocoles expérimentaux démontrant que les agroglyphes nous enseignent comment fabriquer une énergie thermique et électrique à partir de l’eau.
Cette théorie est plus que plausible car, quel est l'élément essentiel à la survie de la vie sur la terre? L'eau justement, et que fait l'homme en ce moment sur la terre? Il gaspille et pollue l'eau!
Si les schémas représentent un condensateur comme le suggère Tom Sutter c'est une solution à la survie du vivant sur terre envoyé par une civilisation pour nous aider à résoudre ce problème de l'eau et des énergies fossiles.
Mais quelle est la société ou le gouvernement prêt à investir dans une théorie dont la source n'est qu'un dessin énigmatique? Notre monde n'a pas encore l'esprit assez ouvert pour ça. Espérons que les années qui viennent verront un retournement de conscience mondiale!
les alignements de pierres et les statues de l'île de Pâques
Tout ce passé révélé qui n'a jamais eu d'explications satisfaisantes prouve toutefois une chose: c'est que les civilisations, quelles qu'elles soient, essaient de communiquer, soit avec les habitants de la terre de leur époque, soit avec nous les habitants actuels, et ceci pour nous dévoiler quoi au juste?
Les théories ne manquent pas, les spécialistes non plus, pourtant il semble difficile de comprendre ce langage.
Une découverte récente au Brésil:
Le cristal, étonnant et mystérieux
Voici trois chemins à explorer autour du cristal
des larmes de cristal!
canular ou miracle?
Un journaliste libanais a mené l'enquête
Un journaliste de Share International au Liban, Nabil Matraji, a voulu approfondir cette étonnante histoire et les confidences de la petite Hasnah et de sa famille, vont grandement l'étonner. Selon eux, les larmes de cristal seraient une volonté de Dieu et la petite fille aurait avoué avoir eu une vision : un chevalier blanc se serait présenté à elle comme un messager de Dieu.
Par ailleurs, des experts venant de l'Arabie Saoudite ont recueillis les cristaux pour les observer en laboratoire et ont certifié leur authenticité. Selon les révélations de la famille au journaliste, les autorités saoudiennes seraient entrés en contact avec le père de Hasnah et lui aurait proposé 50.000 dollars pour étouffer l'affaire qui commençait à faire grand bruits dans les médias. Le père de Hasnah, pauvre, aurait alors accepté de faire croire que cette vidéo était un canular.
Cependant, pour beaucoup cette histoire est classée dans les canulars, mais d'autres personnes s'interrogent encore sur les larmes de cristal de cette petite fille.
Canular ou miracle? A vous de juger en regardant la vidéo!
les crânes de cristal!
Une légende? Vérité qui nous dépasse? ou canular?
le crâne de Paris exposé au Musée du quai Branly à Paris |
L'Entité des Crânes de Cristal parle...
Selon une vieille légende indienne, il existe 13 crânes de cristal, dont on raconte qu'ils parlent ou qu'ils chantent. Ces crânes, dit-on, renferment d'importantes informations sur les origines de l'humanité, sur sa finalité et son Destin...Séance de "channeling" entre Carole Wilson (une des médiums les plus connus au Canada) et le crâne de cristal de Anne Mitchell-Hedges... propos enregistrés de l'entité du crâne à la fin des années 90:
Vous cherchez à connaître les origines de ce réceptacle que vous appelez "le crâne de cristal"... Je vous dirai qu'il a été façonné il y a de nombreux milliers d'années par des êtres d'une intelligence supérieure... Il a été formé par une civilisation qui a précédé ceux que vous appelez les "Mayas". Â de nombreux égards notre niveau de civilisation était, "à l'époque" comme vous dites, très en avance sur celle que vous avez aujourd'hui...
Ce réceptacle contient les esprits de beaucoup et les esprits d'un seul... Il n'a pas été fait par des moyens que voue appelez "matériels". Il a été moulé dans sa forme présente par la pensée. Les pensées et la connaissance sont cristallisées dans ce réceptacle... Ce réceptacle est cristallisé au moyen de la pensée... Ainsi l'information a été cristallisée dans ce réceptacle...
Nous avons placé une forme de pensée en langage pur dans ce crâne...
Une grande part du monde que nous avons créé, nous l'avons créé avec l'esprit. L'esprit créé la matière. Vous comprendrez cela et la technologie du cristal sera offerte en plus amples détails à ceux qui la comprennent... car le cristal est une substance vivante et l'on peut infuser l'esprit dans la matière...
Ce réceptacle a été cristallisé parce que vous, dans la troisième dimension, vous avez besoin de voir, d'entendre et de toucher... Sa forme permet plus aisément à l'esprit de s'attacher à l'esprit, sans passer par ce que vous appelez la personnalité... Mais vous respectez la personnalité, la tête, l'enceinte de votre cerveau... aussi cette forme de réceptacle a-t-elle été conservée pendant de nombreuses ères... La vie terrestre de ce réceptacle est de 17000 ans... Il s'est transmis de génération en génération, il a été poli avec du sable et du crin... et nul mal ne viendra à lui.
Vous cherchez des informations sur les autres réceptacles de l'esprit... Il y aura d'autres réceptacles découverts... car ils sont nombreux... car toute la connaissance n'a pas été donnée à un seul homme et à un seul esprit... Chacun des réceptacles contient l'information sur l'endroit où sont les autres...
Nous pourrions vous en donner un là où nous avons laissé des marques sur la terre [certains se sont demandé s'il ne s'agissait pas des lignes de Nazca au Pérou, encore qu'il y ait évidemment bien d'autres possibilités]... et haut dans la montagne... Il y en aura un bleu dans la région que vous appelez "Amérique du Sud"... Un autre sera découvert quand la civilisation perdue que vous appelez "Atlantide" émergera pour vous... et nous pourrions vous presser d'explorer le lit de l'océan... nous pourrions vous presser d'explorer les découvertes faites dans la région que vous appelez "Bimini"... Mais nous vous guiderons... nous vous montrerons ce que vous appelez un "temple"... C'était une région de communication entre la Terre et d'autres systèmes (solaires? dimensionnels? NDONCT)... Quand tous les réceptacles seront réunis vous serez les gardiens d'une merveilleuse connaissance... La lumière et le son seront la clef ; quand se produira la bonne vibration (le changement de pôle annoncé par tant d'autres ? NDONCT), vous aurez l'information que vous désirez... Mais le temps n'est pas encore venu... Il en est quelques-uns qui n'ont pas encore reçu de forme... et d'autres qui demeurent sous le fond de l'océan... Mais vous ne les trouverez pas tous "dans ce temps" comme vous dites... Il serait trop dangereux pour l'homme d'avoir cette information... trop tôt dans son évolution... car l'humanité cherche encore à dépasser la destruction originale de notre époque.
Le réceptacle a reçu cette forme pour encourager l'esprit à l'unité et réduire votre désir de séparation (NDONCT : l'orientation spirituelle vers le Service-Envers-Soi ?)... Votre esprit cherche la séparation... Nous avons voulu vous léguer la notion d'unité, mais votre esprit ne cherche que la séparation. Comme vous dites, "ce que vous cherchez, vous le trouvez". Et déjà le processus de séparation a commencé.(...) Vous avez un désir de séparer qui mènera à votre propre destruction. (...) Il y a beaucoup de violence sur votre planète. Violence contre les hommes, violence contre la nature... violence contre la Terre.
Nous comprenons que vous soyez en quête des débuts de l'humanité. Nous voulons vous dire que vos propres origines ont été pensées dans leur forme et que vous devez diriger vos yeux vers le haut et non vers le bas. Il y aura de nombreuse découvertes dans le sens de cette reconnaissance au cours des 5, 10, 15 prochaines années... Et les origines de ce que vous appelez votre civilisation se situent à plus de 15000 ans avant la reconnaissance de l'Atlantide. Car il reste encore bien des signes de notre civilisation sous vos océans. Déjà il y a eu les découvertes près de Bimini. Mais il y en aura bien d'autres au cours des 5, 10, 15 prochaines années, qui vous indiqueront la bonne direction... Il y aura d'autres découvertes en Amérique du Sud, en Australie et en Egypte. Dans ce que vous appelez vos déserts, vous trouverez de grandes connaissances. Mais vous trouverez des traces de notre civilisation sur la plupart de vos continents et il y en a beaucoup sous vos mers, spécialement sous les océans que vous appelez "Atantique" et "Indien" et sous ce que vous nommez la "mer morte". Là, tout près de la surface de votre terre, et proches d'être découverts, il y a des vestiges de notre civilisation... Ces découvertes causeront beaucoup de désaccords, cependant elles seront nécessaires pour réduire l'esprit de séparation.
Mais beaucoup de ces découvertes ne seront pas permises dans ce temps. Nous ne pouvons autoriser que celles qui ne causeront pas trop de trouble dans vos esprits. Nous sommes venus sur votre Terre d'un monde différent. Nous sommes venus d'autres dimensions. Nous sommes venus pour connaître. Il nous fallait connaître la densité. Celle que nous avions à l'origine n'avait rien de la densité ce que vous appelez "un corps". La vie sur ce plan terrestre était primitive dans sa forme, mais nous avons pris la forme physique qui vous est reconnaissable. Nous ne cherchions qu'à connaître la densité matérielle et à apporter le savoir et la lumière. Mais nous ne nous sommes pas confinés dans un seul "lieu géographique", comme vous dites. Ils étaient nombreux, et beaucoup de nos vestiges et de nos enseignements restent encore à découvrir au sein de vos masses terrestres et océaniques.
Mais ils sont encore nombreux parmi vous, ceux qui cherchent à savoir où nous trouver dans votre univers. Pourtant vous vous accrochez à l'idée que nous sommes de la 3ème dimension et vous ne parvenez pas à comprendre que nous venons d'autres dimensions, au-delà de votre relativité rudimentaire de l'espace-temps.
Nous pourrions vous dire que l'essence du temps est une illusion. En fait, le temps a été créé par une intelligence supérieure comme une forme de contrôle sur le cerveau et une fonction de l'image du corps. C'est une garantie contre la corruption de la matière, mais en essence, il est non existant. La pensée existe indépendamment du corps et du cerveau, mais le temps est la création de la matière. La pensée est intemporelle. Le mécanisme du temps n'a été introduit que dans le métal ordinaire et matériel, non dans la pensée ou dans l'esprit, pour vous confiner dans la 3ème dimension et dans le périmètre de cette petite planète que vous appelez "Terre". Nous voudrions vous inciter à explorer avec sincérité et compréhension ce que l'esprit est capable de comprendre et non ce à quoi le cerveau est réduit.
Vous êtes attachés au temps comme au nombre. Nous vous disons que les nombres et le temps n'ont aucune profondeur. Ils sont simplement programmés dans le mental ordinaire comme garde-fou pour vous retenir dans le temps et dans l'espace. Ils ne sont pas vraiment une fonction de l'esprit, amis plutôt du cerveau. Et ils sont en réalité une dysfonction du cerveau qui vous relie aux paramètres physiques du monde tridimensionnel. Les relativités que vous appelez "nombres", "temps" et "espace" sont une fonction du cerveau qui se rattache uniquement à la troisième dimension. Cet esprit actuel vous garde prisonniers du temps et de l'espace, de la matière, du monde physique que vous nommez réalité. Mais l'illusion du temps doit encore perdurer un moment. Comprenez-vous ?
Nous sommes venus vous mettre en garde car la séparation est déjà entamée. La destruction commence à se mettre en place. L'esprit de séparation a assuré son emprise et des choses graves se sont déjà produites. Car vous avec votre savoir primitif, vous avez mis en branle quelque chose que vous ne pouvez plus maîtriser. Ce sont vos scientifiques qui ont commencé à jouer avec les ondes sonores et lumineuses de votre atmosphère et avec ce que vous appelez "les particules" (NDONCT: la bombe atomique ressemble à cette description). Vous aurez remarqué que, maintenant de nombreux rayonnements destructeurs frappent votre planète. Il y aura d'autres destructions liées à l'atmosphère, aux changements météorologiques et climatiques, et il y aura aussi des mouvements de vos blocs continentaux.
Nous voulons vous dire que votre civilisation a grossièrement méconnu l'utilisation de la lumière, du son et de la matière. C'est pourquoi vous n'avez découvert que ce qui est le plus près de vous. Mais en ce moment même vos scientifiques et vos gouvernements jouent avec des jouets qu'ils ne comprennent pas. Ils jouent avec la lumière et le son, et avec ce que vous nommez "particules" et "radiations", et ils feront pleuvoir des désastres. Mais comme la réaction n'est pas immédiate, comme elle ne vous touche pas directement, vous continuez encore et encore jusqu'à ce que cette planète soit détruite.
Ainsi que nous l'avons dit, votre esprit actuel ne cherche que la séparation. Vous avez un désir de séparer qui vous mènera à votre propre destruction. Car c'est ce même esprit qui a causé le Déluge et la destruction antérieure de nombreuses terres. Mais le processus de destruction a déjà commencé. Et nous sentons déjà l'influence de cette séparation dans notre monde.
Pour l'instant, vous n'en avez pas conscience car c'est de votre propre fait. Mais nous vous le disons : votre Terre connaîtra de grands changements...
Le corps même de votre planète changera, ainsi que le temps et tout ce que vous connaissez aujourd'hui de votre Terre. Il y aura des changements sur cette Terre dans les formes humaines et animales, et dans cette forme que vous nommez «végétation», celle que vous nommez «blocs continentaux» et celle que vous nommer «atmosphère».
Ce sera un désastre de grande ampleur. Mais, en essence, votre «désastre», comme vous l'appelleriez, a déjà commencé. Vous verrez beaucoup de morts parmi ce qui vit sur votre planète. Vous verrez que ce qui croient dans le sol entraînera de grands changements et vous verrez que ce qui se nourrit du sol connaîtra de nombreuses morts.. Vous verrez des destructions dues à ce que vous appelez «radiation» et vous découvrirez une grande pestilence dans ce qui vole aujourd'hui sur votre planète. Il y aura des éruptions et des perturbations de votre climat, et une grave séparation des atmosphères. Vous aurez de grand vent... Et votre bétail mourra en grand nombre. Vos eaux monteront plus haut qu'elle ne devrait et vos terres s'enfonceront sous les vagues. Les continents disparaîtront et les mers et les océans s'élèveront.
Il y aura une grande rupture de la Terre... De l'intérieur de la Terre.
Le champ magnétique basculera et bascule déjà maintenant. La Terre s'ouvrira et ses entrailles se répandront à sa surface et dans l'atmosphère. L'atmosphère entre déjà dans un état de pollution dangereux. Voilà ce que vous faites sur Terre avec vos énergies négatives.
Et c'est pourquoi nous vous avons laissé ces réceptacles, il y a de cela longtemps dans votre temps, quand nous avons compris que beaucoup avait oublié l'intention originale de leur incarnation dans cette dimension physique. Quand nous avons compris que l'esprit de séparation étendrait son emprise et qu'il y aurait une grande catastrophe sur cette Terre, nous avons choisi de retourner à notre dimension originale. Et nous avons laissé derrière nous des héritages nos esprits. Nous savions qu'il y aurait ceux qui savent et qui cherchent, et que leur progression spirituelle les guiderait sur cette voie. Nous savions qu'à cause du désastre qui frapperait cette planète, certains seraient nécessaires pour faire appel à leur mémoire réincarnée, pour guérir, pour conseiller et pour aimer un monde devenu fou, un monde sans connaissance, un monde sans espoir où les feux de la destruction régneraient.
Mais quand le temps viendra, le devoir de tous ceux qui cherchent la connaissance spirituelle sera d'instruire les autres au moment où la Terre basculera sur son axe. Dans ce réceptacle et les autres que nous vous avons laissés, il y a ce dont vous aurez besoin.
Notre savoir, cristallisé ici, sera partagé quand le moment viendra. Il a été prévu que, par ses réceptacles, les esprits d'un seul seraient activé et se présenteraient d'eux-même lorsque votre Terre en aurait besoin. Et c'est ce qui commence à se produire, «en ce temps» et «en ce lieu», comme vous dites. Nous sommes ici pour vous révéler ce qui est... Ce qui sera... Et qui a déjà commencé, un grand changement dans le sein de votre mère la Terre. Nous vous pressons de faire connaître à l'humanité les choses que nous vous avons à vous offrir dans l'espoir que l'holocauste pourra être réduit. Car si ce qui est donné ne peut plus maintenant être changé, ces effets peuvent encore être grandement atténués.
Sources
Le Mystère des Crânes de Cristal de Chris Morton & Ceri Louise Thomas
Editions du Rocher, pages 80-86.
les boules de cristal!
Pierre de lumière, le cristal est depuis toujours la pierre de l'Occultisme Universel. Sa puissance vibratoire agit directement sur le troisième œil (ajna chakra). Elle provoque une forte accélération des vibrations du troisième œil, et, de ce fait, sensibilise l'esprit aux dimensions supérieures.
Le cristal permet de rentrer en contact avec les Etres de Lumière, et de recevoir leur puissance. Le cristal de roche ou de synthèse a une action analogue ; on peut utiliser l'un comme l'autre indifféremment. On emploie d'habitude une sphère de cristal dénuée de toute imperfection, sans tache ni bulle. Sa grandeur est variable suivant les usages.
Pour une utilisation personnelle, un diamètre de sept centimètres est largement suffisant, mais pour un emploi collectif, le diamètre minimal sera de dix centimètres.
La puissance du cristal est utilisée lors de séances de clairvoyance et lors d' Evocations aux Entités de Splendeur. Quand nous faisons appel au cristal, il s'illumine et nous livre les secrets du passé, du présent et du futur.