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Un sage indou du 18° siècle a dit : "Ne faites pas ce que vous voulez... et alors, vous pourrez faire ce que vous aimez!"

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Météo Las Galeras

lundi 22 octobre 2012

mais où va donc l'humanité?

Fotos de  VENDEMOS TERRENOS PARA PROYECTOS TURISTICOS EN LA PENINSULA DE SAMANA-REPUBLICA DOMINICANA

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c'est ce que nous faisons tous les jours à notre terre
Et pourtant l'humanité va vers le don, la générosité, la gratuité et le troc. C'est mon intime conviction.

Le don:donner.jpg

Depuis l'avènement d'internet, beaucoup de services, de livres, donc de connaissances se déversent chaque jour dans les cerveaux de ceux qui veulent et peuvent y puiser. Et la connaissance divulguée gratuitement nous paraît normale, alors qu'au début du vingtième siècle, ces connaissances étaient réservées aux nantis, aux nouveaux riches, ou aux fils de bonne famille uniquement.

Cet état de fait ne va pas s'arrêter, sauf si toutes les communications sont coupées un jour par quelque catastrophe planétaire bien sûr! A ce moment-là, toutes nos connaissances dont l'occident est si friand et si fier, ne serviront pas à grand chose, en tous cas pas pour rebâtir un monde où le matériel l'emporte sur le spirituel.

La générosité:La generosite sur le chat chat

Lors de catastrophes naturelles, ou de drames survenant près de chez nous, on a pu voir se manifester cette générosité. Cette générosité a pour base la compassion, qui elle-même est notre nature fondamentale, donc il n'y a pas de raison pour que cette générosité disparaisse.

Ce sera la conséquence de notre élévation d'âme. Déjà, ici et là on trouve des personnes qui ont choisi de vivre sans payer en argent sonnant et trébuchant, mais en échange de services rendus. Ce comportement, montré du doigt comme étant épisodique ou le fait de personnes excentriques, va s'accélérer car le capitalisme est en train de s'éteindre malgré tout ce que les pays riches tentent de mettre en oeuvre pour qu'il perdure. Il ne perdurera pas, il ne perturbera pas l'avenir de l'homme plus longtemps.




Je ne suis ni voyante, ni médium, mais j'observe autour de moi, je lis et j'écoute. L'humanité aspire à un changement, à une nouvelle donne car il y a trop de pays pauvres écrasés par les riches, il y a trop de familles pauvres côtoyant les riches et se demandant "pourquoi?" L'absence de spiritualité augmente la force de ce "pourquoi?". Les pays pauvres mais imprégnés d'une sagesse ne souffrent pas de ce même "pourquoi?" puisqu'ils acceptent leur karma. Mais l'occident n'a pas fait sienne cette notion, alors les sentiments d'envie, de jalousie, de possession sont très forts et font exploser certains gouvernements.

Mère, la compagne de Sri Aurobindo  a dit:

... L'Homme est un être de transition disait Sri Aurobindo. Cette transition de l'espèce à un autre état est la question de notre temps. C'est cette question même qui est en train d'être de plus en plus martelée à nos oreilles d'hommes civilisés. Car, bien qu'il en semble, nous ne sommes pas à la fin d'une civilisation mais à la fin d'un cycle évolutif. http://www.ire-miraditi.org/ire/index.html


Jean GRACIET (Novembre 2011) a écrit:

La grenouille

Une croyance affirme que si l'on plonge une grenouille dans un chaudron d'eau chaude, d'un bond elle s'échapperait. Maintenant, si on la plonge dans l'eau froide que l'on porte graduellement à ébullition, elle ne s’en rendra pas compte et ne bougera pas. Elle restera docilement plongée dans le chaudron car elle se sera habituée progressivement. Pourtant, elle va s'engourdir progressivement dans l’eau devenue chaude et finira par mourir.

Pauvre grenouille qui n'a pas su composer avec le changement, parce qu'elle ne l'a tout simplement pas senti venir... et elle en est morte! Elle aurait peut-être pu se plaindre que les choses décidément étaient de moins en moins faciles, que vraiment, ça se réchauffait. Elle n’a pas vu que le changement se faisait à chaque seconde qui passait… mais laissons donc la grenouille à des histoires de grenouilles.

Et si les changements que nous vivons nous proposaient tout simplement de vivre différemment..?
Car c'est sans doute de la mort d’une certaine manière de vivre, d'une certaine forme de conscience, limitée à de fausses sécurités, qu'il est question pour nous. Et parallèlement, de l'émergence d'une autre dimension d'existence, d’un autre niveau de conscience, si nous pouvions sortir de la marmite de nos peurs, de nos plaintes et autres doléances de catastrophisme.
http://www.eveiletsante.fr/articles_perso.htm#avoirouetre


Satpren a dit: 

...Je ne crois pas en la guerre, je l'ai faite mais je n'y crois plus, je crois à autre chose…Je crois qu'en effet il y aura un très grand bouleversement, mais pas comme on le comprend, un bouleversement infiniment plus radical parce qu'il va nous toucher jusqu'au…il est en train de nous toucher tous jusqu'au fond…c'est un bouleversement de la conscience, une révolution de la conscience, pas une révolution philosophique, mystique ou spirituelle, non. Un changement de perception, quelque chose qui va nous faire passer de ce pauvre regard de chenille à un autre regard, comme un regard de papillon. Il va y avoir un bouleversement, comme ça, c'est cela qui se prépare. On est en train de tout briser de tout annuler. Le mental est en train comme de s'annuler lui-même, n'est-ce pas, sous les milliers de slogans, de philosophies, de panacées qui s'écroulent toutes les dix minutes après. Il est en train de s'annuler lui-même. On a l'impression que dans tous les domaines l'homme est comme en faillite, mais c'est une merveilleuse faillite, c'est justement la possibilité d'une porte ouverte sur autre chose, quand tout a fichu le camp, il reste quelque chose…http://www.ire-miraditi.org/ire/sat-suj.html#top


SOUVERAINETÉ POPULAIRE

Vandana Shiva : « Le libre-échange, c’est la dictature des entreprises »

PAR AGNÈS ROUSSEAUXNADIA DJABALI (4 JUILLET 2011)

Écrivain, physicienne, prix Nobel alternatif, la militante écologiste indienne Vandana Shiva est une résistante infatigable contre les entreprises qui pillent son pays, comme Monsanto. Elle pose un regard lucide sur les enjeux de la période : crise écologique, financière, protectionnisme, risque nucléaire, OGM... Quelle civilisation sommes-nous en train de construire ? Comment redonner du pouvoir aux citoyens face aux multinationales ? Comment construire de réelles alternatives globales ? 
Entretien.

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Basta ! : Les combats que vous menez sont liés à la souveraineté – alimentaire, sur les terres, l’eau, les semences. Qu’est-ce que la souveraineté ? En quoi est-ce un enjeu majeur du 21e siècle ?
Vandana Shiva : La redéfinition de la notion de « souveraineté » sera le grand défi de l’ère post-globalisation. La mondialisation était fondée sur l’ancienne notion de souveraineté, celle des États-nations héritée de la souveraineté des monarques et des rois. La nouvelle notion de souveraineté est le fondement de la résistance à la mondialisation. Cette résistance se traduit par le slogan : « Le monde n’est pas une marchandise.  » Actuellement, les Grecs disent : « Notre terre n’est pas à vendre, nos biens ne sont pas à vendre, nos vies ne sont pas à vendre. » Qui parle ? Les peuples. Revendiquer la souveraineté des peuples est la première étape de la souveraineté alimentaire, de l’eau ou des semences. Mais il y a une seconde partie : les peuples revendiquent le droit de protéger la Terre, et non celui d’abuser d’elle comme d’autres la maltraitent. Ainsi la souveraineté des terres, des semences, des rivières rejoint la souveraineté des peuples. Avec la responsabilité de protéger ce cadeau de la Terre et de le partager équitablement.






Pour Bill Gates, le futur est sans viande

USA / 10.08.2012 / Amérique du nord

Bill Gates est un mentor quand il est question d’innovation. L’ex-entrepreneur, devenu travailleur humanitaire, prévoit un avenir marqué par un mode de vie végétarien.


L’adoption d’un régime végétarien fait partie intégrante de la mission de Bill Gates. © OnInnovation

Être végétarien pour protéger la planète

Après sa vie chez Microsoft, Bill Gates a fondé avec sa femme Melinda et son père Bill Gates Sr., la Bill and Melinda Gates Foundation. Cette organisation a encouragé les changements positifs pour la planète. L’adoption d’un régime végétarien fait partie intégrante de cette mission.

Le 29 janvier 2010, Bill Gates avait pris position sur ce mode de vie pendant le Forum économique mondial de Davos, en Suisse. Dans une vidéo diffusée sur YouTube, il aborde les questions d’avenir sur la consommation de viande. Pour lui, les alternatives végétariennes sont plus efficaces et plus saines pour la planète.

Propulsé par son travail visionnaire chez Microsoft, il propose d’examiner l’offre et la demande dans notre système alimentaire en utilisant les mêmes objectifs d’affaires qui lui ont permis de devenir un leader mondial. Il conclut:

« Si toutes les entreprises utilisant des produits animaliers (lait, œufs, poulet, bœuf) dans leur production trouvaient un moyen de les remplacer par des produits à base de plantes, cela réduirait leurs coûts et donnerait des produits plus sains. Cette stratégie serait moins cruelle envers les animaux, et émettrait moins d’émissions de gaz à effet de serre. Fantastique. »

Innovation, gestion durable des terres et moins d’élevage

Bill Gates évoque également la réticence des populations à se tourner vers un régime végétarien. Pour lui, la science et l’innovation encadreront bientôt ce dialogue.

C’est pour cela que sa fondation fait de l’innovation agricole une partie intégrante de sa mission. Les fonds investis pour des projets agricoles vont de la gestion durable des terres, afin de donner aux agriculteurs une meilleure éducation, à des aides destinées aux familles les plus démunies, pour qu’elles puissent se nourrir décemment.

De nombreux experts et organismes internationaux démontrent que l’élevage serait l’une des causes principales des problèmes environnementaux actuels.

Déforestation, et pollution des eaux

Le rapport de la FAO (Food and Agriculture Organization– Organisation des Nation Unies pour l’alimentation et l’agriculture) note que la production de viande et de produits laitiers génère des émissions de gaz à effet de serre plus importantes que le transport. Elle occupe 33% des terres arables de la planète et 30% de la surface totale des terres.

La FAO rapporte aussi les problèmes de déforestation, causé pour créer plus de pâturages. En Amérique latine, 70% de la forêt amazonienne y a été convertie. La production de viande et de produits laitiers pollue également les eaux et porte atteinte à la biodiversité.

À l’Université de Chicago, les professeurs Gidon Eshel et Pamela Martin ont démontré que le régime végétarien est préférable pour l’environnement; il utilise moins de combustibles fossiles. Ils ont constaté que ces derniers réduisent les émissions de gaz à effet de serre pour l’équivalent de 1,5 tonne de dioxyde de carbone par an.

http://www.greenetvert.fr/2012/08/10/pour-bill-gates-le-futur-est-sans-viande/65645






Si l'homme ne veut pas changer son comportement immédiatement, demain se lèvera sans pétrole, sans charbon, sans nucléaire et sans gaz!

Alors comment vivrons-nous? D'amour et d'eau fraîche? Peut-être! Ce serait même souhaitable!

Notre civilisation décline, chacun peut s'en apercevoir s'il est un tant soit peu objectif. Le système capitaliste a fait son temps. Il est temps d'en changer. Pour aller vers quoi? Le communisme s'est effondré, le socialisme n'a rien résolu, le capitalisme pille la planète.

Le seul modèle, viable, à mon humble avis, est celui des sociétés ancestrales, des sociétés dites primitives qui respectent la terre et les hommes qui y vivent car ils se sentent tous reliés et responsables de leurs actes vis à vis de leur mère la terre.

Mais qui est prêt, dans nos sociétés dites civilisées, à vivre comme ces sociétés primitives? Pas grand monde.

Alors la civilisation va se détruire elle-même si elle n'arrête pas de piller la terre comme elle le fait.

Pourtant, ça et là dans le monde, apparaissent des personnes dont le mode de vie est montré du doigt, et qui sont jugées comme un peu folles, ou rêveuses. Vivre sans argent comme cette Allemande ou cet Américain ou réduire au maximum ses dépenses énergétiques comme ce Belge, Steven Vromman : on l’appelle «l’homme au faible impact»

Déterminé à limiter son empreinte écologique sur la planète, Steven Vromman a décidé, il y a deux ans, de vivre sans pétrole, en imaginant toutes sortes de solutions au quotidien, et pour lui, ça marche. Histoire d’un héros pas comme les autres, pour qui la vie sans pétrole, est une vie bien meilleure…

Mais que mettre dans son réservoir?

Les Algues Vertes, l’essence de demain ?

Harrisson Dillon aurait trouvé l’énergie de demain. Une énergie en apparence sans conséquences néfastes pour l’environnement, réalisée à base d’algues vertes. Yann Arthus-Bertrand est allé à la rencontre de ce savant pas si fou, dans son laboratoire de la Silicon Valley, où avec son équipe, il transforme des algues en biocarburant pour les automobiles.

Et le plastique?

voici une carte où l'on voit les détritus de plastique voguant autour de la planète au gré des courants marins! Si on arrête d'utiliser le pétrole,
ces poubelles flottantes n'existeront plus!
D'immenses plaques de déchets flottent sur tous les océans du monde





Mon mode de vie n'est peut-être pas transposable partout, mais chacun à son niveau peut faire un effort. Voici quelques exemples:

- ne plus utiliser de sacs ni plastique ni papier lorsque l'on va faire ses courses. Cela parait difficile, et pourtant, chacun a sa voiture, il suffit de décharger son caddy dans son coffre aménagé pour entreposer les marchandises jusqu'à son domicile

- acheter les légumes sans les emballer non plus. Les mettre dans des cartons qu'on aura pris le soin de déposer au fond du chariot (il y a toujours des cartons à la disposition des clients dans les grandes surfaces)

- ne pas prendre sa voiture pour faire trois pas comme c'est devenu une habitude malsaine. Prendre son vélo ou y aller à pied (au lieu de dépenser l'argent dans une salle de sport)

- ne pas acheter des jouets et des gadgets en plastique en encore moins ceux marqués "made in China"

- ne pas laisser couler l'eau inutilement ni l'électricité allumée dans toutes les pièces sans raison

- ne plus avoir de télévision

- manger des produits cultivés près de chez vous (le système des AMAP est une bonne alternative)

- utiliser le co-voiturage quand cela est possible pour se rendre à son travail

- éduquer les enfants à un nouvel art de vivre au lieu de les laisser devant leur ordinateur ou leurs jeux en réseau ou leurs consoles x ou y

- et j'en passe....

playa Rincon

On pourrait parler d'une pédagogie par l'épreuve, souvent - et hélas - plus efficace dans la prise de conscience que les grands discours, par ailleurs si nécessaires, sur le changement climatique, en lien direct avec le sujet. Les analyses des grands spécialistes du climat, la fonte des glaces accélérée au point qu'une élévation de près d'un mètre du niveau des océans, fin XXIe siècle, n'est pas exclue, l'objectif de Copenhague de contenir le réchauffement de l'atmosphère en deçà de 2 degrés d'ici à 2050, soit une réduction des émissions des deux tiers... tout cela nous dit, bien sûr, qu'il faut changer.

La raréfaction du pétrole, elle, nous force à changer, et sans retard, en nous frappant au point faible. Et plus nous nous bercerons d'illusions sur l'avenir de cette ressource en faisant fond sur les nouveaux gisements du Brésil, du Mexique, sur les sables bitumineux, sur la fracturation des schistes ou la conversion du charbon et du gaz en liquide.... et plus terrible et, il faut le dire, plus inégalitaire sera la chute. L'âge du pétrole et des énergies fossiles n'aura duré que deux siècles.

cabo Cabron vu de ma maison

Des experts indépendants estiment que la fracturation hydraulique, méthode de forage permettant l'extraction des gaz de schiste, pourrait être à l'origine de deux petits séismes survenus en Angleterre.

Selon un rapport britannique, qui vient d'être rendu public, il est « hautement probable que des tests de forages de gaz de schiste aient déclenché des secousses sismiques dans le Lancashire », en Angleterre. Voilà un nouvel écueil pour une filière qui ne fait déjà pas vraiment l’unanimité.

Signé par plusieurs experts indépendants, ce rapport a été commandité par la société Cuadrilla, qui exploite le site de Bowland, dans le nord-ouest de l’Angleterre. L’étude cherchait à comprendre pourquoi il avait été observé une activité sismique anormale à proximité de certains des puits de forage. Les experts ont ainsi tenté de déterminer les causes de deux petits séismes : l’un d’une magnitude de 2,3, qui s’est produit le 1er avril 2011 et l’autre, datant du 27 mai 2011, d’une magnitude de 1,5.

La fracturation hydraulique : interdite en France, pas en Angleterre

Pour l’instant, les compagnies pétrolières ne connaissent qu’une seule méthode pour extraire le gaz de schiste emprisonné dans la roche mère : c’est la fracturation hydraulique. Mais cette technique, qui consiste à injecter à forte pression une énorme quantité d’eau agrémentée de quelques produits chimiques dans la roche mère afin de la faire éclater, est suspectée d’être nocive pour l’environnement, l’eau en particulier.

En France, cette pratique est d’ailleurs interdite depuis le 13 juillet 2011, et certaines compagnies pétrolières qui comptaient s’en servir dans un futur proche ont récemment été priées de renoncer à cette méthode. Mais d’autres pays l'ont acceptée, comme le Canada, les États-Unis ou encore le Royaume-Uni où la réglementation environnementale est réputée laxiste et où la dépendance énergétique est vue d’un mauvais œil.

Risques sismiques

Selon le British Geological Survey, le centre britannique des tremblements de terre, il existe un lien bien connu entre fracturation hydraulique et tremblements de terre. En juin 2011, la société Cuadrilla Resources a du interrompre son activité d'exploration dans le nord-ouest de la Grande-Bretagne, en raison de plusieurs séismes de magnitude 1,5 à 2,3

Plus qu'à la fracturation des roches, ces séismes seraient principalement dus à l'injection d'eau. Le phénomène avait été constaté dans le Colorado en 1960, alors que l'armée américaine se débarrassait par injection dans le sous-sol d'armes chimiques. Le séisme enregistré d'une magnitude de 5,5 sur l'échelle de Richter avait conduit à l'arrêt de ces injections.

Point de non-retour pour notre biosphère

http://www.besoindesavoir.com/article/1014256/point-non-retour-pour-notre-biosphere