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Météo Las Galeras

lundi 17 septembre 2012

le pouvoir de nos pensées et la conscience de masse

Gifs scintillant bonjour


Chaque fois que nous disons "bonjour!" souhaitons-nous réellement à la personne en face de nous qu'elle passe vraiment une bonne journée? Nos "bonjour'"! sont devenus totalement automatiques!

Et pourtant! Si nous faisions l'effort de dire ce petit mot avec tout notre coeur, cela aurait un autre impact; le destinataire du "bonjour" sentirait que nous lui souhaitons réellement une bonne journée car notre amitié ou notre amour pour lui l'envelopperait.

Nos pensées et aussi nos paroles créent notre environnement quotidien et futur. Lorsque l'on est persuadé de cela, les mauvaises choses commencent à disparaître de notre vie pour ne laisser place qu'à ce que nous voulons réellement. Et nous ne nous voulons pas de mal, au contraire, alors les bonnes choses arrivent, résultats de nos pensées et paroles.

Les informations télévisées ou radio nous remplissent d'événements catastrophiques pour faire de l'audience et il y a de plus en plus de catastrophes dans le monde. Pas étonnant, puisque l'attention que l'on porte à ces informations démultiplient leur pouvoir négatif.


"Les gens qui programment un détournement d’avion accroissent le pouvoir de cette pensée, mais ceux qui sont effrayés par la possibilité d’un détournement font pareil, car l’attention qu’on porte aux événements indésirables en augmentent tout autant le pouvoir. Ceux qui cultivent l’intention très claire de n’attirer aucune forme d’énergie négative dans leur vie ne regardent sans doute même pas les nouvelles, voyez-vous. Il existe une telle quantité d’intentions différentes, et de combinaisons entre elles, qu’il nous est très difficile de préciser de quelle façon l’une d’entre elles en particulier se concrétise… Les informations télévisées contribuent certainement à leur réalisation. Car plus il y a de gens qui se concentrent sur ce qu’ils ne veulent pas, plus ils contribuent précisément à la manifestation de ces événements-là. Leur pouvoir émotionnel collectif exerce une grande influence sur les événements globaux qui se déroulent dans le monde. Voilà ce dont est capable la conscience de masse."

Catastrophes naturelles et pollution mentale. La Terre se délivre des énergies mentales de lutte, division, concurrence et pouvoir. Inondations, ouragans, tremblements de terre, éruptions volcaniques, la Terre subit de terribles catastrophes. Sont-elles vraiment des accidents qui surviennent au hasard? Cette hypothèse ne fait que créer ou renforcer la peur en suggérant qu'aucune protection n'est efficace, aucun salut n'est possible. L'hypothèse alternative est que les bouleversements terrestres sont la conséquence logique de causes profondes qui ont été annoncées et explicitées depuis fort longtemps par les peuples de la terre tels que les amérindiens. La cause la plus importante est notre façon de penser en termes d'opposition, concurrence, lutte, conquête et divisions. Dans ce cas, nous pouvons atténuer ou supprimer les phénomènes terrestres et les souffrances humaines consécutives. Il suffit d'adopter un comportement de bienveillance et de compréhension vis-à-vis de la nature et des autres humains en prenant conscience que nous sommes unis. Chacun doit se dégager de ses propres comportements égoïstes, souvent issus de blessures d'enfance, en entreprenant une observation honnête de soi-même.


Ho'oponopono


Pervenches de Madagasca


Y a-t-il quelque chose de plus simple à dire : 

 "pardonne-moi", "je suis désolé(e)", "je t'aime", "merci" ?...


Hoʻoponopono est un procédé psycho-spirituel de réconciliation et de pardon mutuel des anciens Hawaïens. Une voie de résolution des conflits et d'absolution: Mais aussi une philosophie et un art de vivre. Traditionnellement Hoʻoponopono était fait par un(e) Kahuna lapaʻau (prêtre(sse) guérisseur(se) et la plupart du temps avec des groupes familiaux pour guérir les maladies physiques et mentales. Les versions modernes sont conçues de façon à ce que chacun puisse le faire seul, individuellement.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hawa%C3%AF#Toponymie

Les savoirs ancestraux se divulguent maintenant à une rapidité foudroyante,
à nous de savoir les faire nôtres pour que notre vie s'illumine.
Bonne lecture!


http://www.eveiletsante.fr/HOOPONOPONO_1.pdf

la voix du milieu: la conscience




La question est: "Mon corps est-il vivant?"

Mon corps est-il le moi, ou plutôt, "je" est-il mon corps? L’être humain n’est pas seulement un corps, il a un esprit, personne n’en doute plus.

La question se tord sur sa chaise, elle veut une réponse. Alors je dois la reformuler: "Mon corps et mon esprit sont-ils vivants?"

Oui! Mon corps et mon esprit sont vivants car le corps est mortel... et l’esprit? Qui sait si l’esprit est mortel? Une chose cernée de toutes parts mais que les yeux du corps ne peuvent pas voir, peut-on réellement savoir si elle existe? Oui! Répondront toutes les religions du monde, oui, répondront tous les penseurs et philosophes du monde, oui, répondra l’être humain de la planète entière.

La question devient double...

Un moustique vient d’aspirer un peu de mon sang sur mon avant-bras gauche. Il exagère! Je l’ai chassé. Il m’empêche de me concentrer.

Si le "je" représente le corps et l’esprit, j’ai déjà un problème pour affirmer que je suis vivante car je ne sais pas si l’esprit meure. Faut-il définir tout d’abord l’esprit? Qui peut me donner la définition de l’esprit? Le petit dictionnaire de poche qui dort dans mon armoire se fait un plaisir de prendre l’air. Sérieusement, il me répond: "esprit": =principe de la pensée et aussi principe immatériel. Je cherche la définition de "principe": =origine, cause première. Là, j’ai la définition de mon esprit: origine de la pensée et origine immatérielle.

La pensée et l’immatériel peuvent-ils mourir? Peuvent-ils pourrir? Je crois bien que non même si on dit qu’une pensée meure. Ce n’est qu’une image. Une pensée vient, se transforme et s’en va, mais personne (en tout cas, pas moi) ne sait où elle va. L’immatériel peut-il mourir? Je réponds non, il faut qu’il y ait matière périssable pour mourir. Alors ma question double obtient deux réponses: je deviens normande!

"Mon corps et mon esprit sont-ils vivants?" Oui et non! Oui pour le corps... non pour l’esprit. Je suis donc un être humain qui est à moitié vivant et à moitié mort?

"Non !" me répond joyeusement une petite voix. Je demande des explications. Ni oui, ni non? Peut-être alors?

"Il manque un troisième larron!" me dit sérieusement cette fois ma petite voix en même temps que je donne une gentille tape à ma joue gauche pour chasser le moustique qui est revenu. Curieux ça, un seul moustique qui vient, qui disparaît, qui revient. Il veut m’obliger à faire une pause sans doute?

le troisième larron?
J’ai fait une pause. Me revoilà avec mon esprit immatériel et mon corps matériel. Et je me demande: si on mélange l’immatériel à la matière, cela donne quoi? Corps-esprit? Esprit-corps? De la matière animée. De la matière qui bouge, qui vit, qui meure. Cela donne un corps habité par de l’immatériel. La maison c’est le corps, l’immatériel c’est l’air qui s’y trouve, c’est mon souffle. Alors mon souffle est aussi mon esprit? Dans mon souffle quelqu’un peut-il me dire où se trouve mon esprit?

"Si ton souffle et ton esprit sont une et même chose immatérielle, nul n’est besoin de chercher où est l’esprit puisqu’il est la composante du souffle" me raisonne la petite voix qui revient en force.

Lorsque je meure, pardon, lorsque mon corps meure, mon souffle s’arrête, donc mon esprit disparaît puisque le souffle et l’esprit sont une seule chose. "Exact" me répond-elle. "Il y a un troisième larron, et tu ne m’as pas écoutée!"

C’est vrai, mais qui est le troisième larron? Ce larron est-il un ou deux? Qui l’a vu? Qui le connaît? Est-ce de la matière ou est-ce de l’immatériel?

"Ni l’un, ni l’autre!" répond la petite voix avec une pointe de moquerie. Alors là, je ne bouge plus, j'attends la suite mais ma curiosité naturelle prend vite le dessus car je veux savoir qui est ce troisième larron.

"Il s’appelle la conscience!" me dit doucement ma petite voix. Je finis par m’habituer à dialoguer ainsi avec je ne sais pas quoi exactement, mais c’est bien agréable. C’est donc une larronne? Où est-elle? Est-elle dans le corps, ou dans l’esprit? ou dans les deux, ou en dehors, au-dessus, au-dessus? Tiens! j’ai écrit deux fois "au-dessus"? Donc très loin au-dessus veut dire ma petite voix?

"Exact! Très loin au-dessus de ton corps et de ton esprit"

Et comment cette conscience très loin au-dessus peut-elle influer sur la vie et sur la mort de mon corps et de mon esprit?
……..
Silence. La petite voix reste sans voix.


Reprenons: le corps vivant peut mourir, l’esprit qui est le souffle disparaît avec le souffle qui meure. Bien sûr! Si je sais que dans l’esprit, le troisième larron peut s’y loger, ça devient un peu plus clair!

"C’est pour ça que j’ai répondu : ni oui, ni non à la question: mon corps et mon esprit sont-ils vivants? La conscience est dans l’esprit, et l’esprit est contenu dans le souffle. Lorsque le souffle meurt – qui est l’air du corps – l’esprit s’en va main dans la main si on peut dire avec la conscience, tu suis?"

Jusque là oui, mais où vont-ils? Et comment sait-on toutes ces choses tant immatérielles?

"Depuis des temps immémoriaux, l’être humain répète que la conscience existe. Certains l’appellent Dieu, d’autres Allah, d’autres Ram, d’autres ne lui donnent pas de nom puisqu’elle est innommable. Certains disent l’avoir vue, expliquent ce qu’ils ont vu; cela fait longtemps que ça dure et les discussions sont toujours aussi animées que par les siècles passés. Aujourd’hui encore dans le monde certains êtres humains s’entretuent pour obliger l’autre à croire et à respecter cette innommable qu’est la conscience."

Voici une réponse bien longue de la part de ma petite voix, mais je commence à comprendre. Si j’appartenais à une des religions du monde, il y a longtemps que j’aurais accepté l’explication. Si j’appartenais aux athées purs et durs, j’aurais rejeté depuis longtemps cette même explication. Alors, ni croyante, ni athée? Peut-on être un peu croyante, un peu athée? La voie du milieu. La philosophie bouddhiste alors?

"La voix du milieu, avec un "x" à voix au lieu du "e" de voie me précise ma petite voix. Interloquée, je suspends mon écriture.

La voix du milieu? Si le milieu est l’intérieur du corps et de l’esprit, la voix du corps et de l’esprit est la conscience. Une voix qui ne parle pas avec les organes vocaux, mais qui parle directement, qui émet directement dans l’esprit.

Merci ma petite voix d’avoir éclairci tous ces détails. "Sont-ce des détails?" me reproche-t-elle, aiguillonnée par le manque de respect du mot "détails".

Pardon! Merci d’avoir éclairci ces points litigieux et ô combien essentiels puisqu’ils sont l’essence même de l’être humain: sa conscience, et rien que sa conscience. Rien d’autre n’est plus important pour l’être humain.
La conscience est ce qui actionne les sens et/ou l’esprit, ce qui saisit par les sens et/ou par l’esprit. Comme les sens font référence au corps, j’en déduis donc que la conscience est à la fois dans le corps et dans l’esprit. Une idée germe: si la conscience est le principe de tout, il n’y a plus à se poser tant de questions. La conscience est à l’origine de mon corps et de mon esprit. Dans ce cas je suis d’accord avec ma petite voix quand elle dit que c’est la conscience qui est l’essence de l’être humain. Et là, une autre question surgit: "D’où vient la conscience? Où va-telle?"

"Écoute!... me chuchote ma petite voix, si déjà tu es persuadée que la conscience est ton essence d’être humain, c’est déjà beaucoup! Car avec cette connaissance-là, tu vas découvrir tout le reste mais il te faudra du temps. L’important c’est que tu soies sur la bonne voie: la voix du milieu!

Je suis à moitié satisfaite.

"Qu’est-ce qui te manque?" demande ma voix.

J’aimerais finir de comprendre, j’aimerais savoir d’où vient cette conscience, est-ce une énergie? est-ce une onde? est-ce un son?

"Patience, lorsque le moment viendra, tu auras toutes ces réponses, en attendant continue d’être en accord avec elle, de l’écouter, de la suivre, de lui faire une place encore plus grande dans ton esprit, c’est déjà, je t’assure, un bon début. L’humain cherche à tout analyser, à tout décortiquer, et il a du mal à trouver car, plus il décortique, moins il comprend. Il faut qu’il arrête de mettre en pièces chaque chose, il est temps qu’il raisonne et comprenne avec ce qu’il a déjà expertisé en long, en large et en travers. C’est en profondeur, à l'intérieur qu’il faut qu’il aille, non seulement à la surface des choses ou des concepts"

Tu me dis qu’il faut que je me contente du peu de connaissances que j’ai?

"Exact, ça devrait te suffire pour continuer à faire connaissance avec ta conscience, ta voix du milieu. Elle t’entrainera sûrement vers des rivages nouveaux et toujours plus lumineux. Ne cherche pas les miracles ni les mirages, ta vie est déjà un miracle et un mirage. Bonne route, bonne voie, et ne reste pas sans voix!"




"La vérité est un pays sans chemin"

....Lors de ses réunions avec Nehru, Krishnamurti est longuement entré dans les détails sur les enseignements, disant par exemple: « La compréhension de soi survient seulement dans la relation, en s’observant dans le rapport avec les gens, les idées, et les choses ; avec les arbres, la terre, et le monde autour de vous et en vous. La relation est le miroir dans lequel le soi est révélé. Sans connaissance de soi il n’y a aucune base pour la pensée et l’action juste. »
 Nehru demanda, « Comment débute-t-on ? » à quoi Krishnamurti répondit:
 « Commencez là où vous êtes. Lisez chaque mot, chaque expression, chaque paragraphe de l’esprit, tel qu’il opère au travers de la pensée. »



L’Essence de l’enseignement de Krishnamurti est contenu dans la déclaration qu’il fit en 1929 où il dit :
  La vérité est un pays sans chemin.
L’homme ne peut venir à elle par aucune organisation, par aucune foi, par aucun dogme, prêtre ou rituel, ni par aucune connaissance philosophique ou technique psychologique.
Il doit la trouver à travers le miroir de la relation, par la compréhension du contenu de son propre esprit, par l’observation, et non par l’analyse intellectuelle ou la dissection introspective.
L’homme a construit en lui-même des images pour améliorer son sentiment de sécurité - religieuse, politique, personnelle. Celles-ci se manifestent comme symboles, idées, croyances.
Leur fardeau domine la pensée de l’homme, ses relations et sa vie quotidienne.
Ce sont les causes de nos problèmes 
car ils séparent l’homme de l’homme dans toutes les relations. »