dessins de la plaine de Nazca au Pérou |
Nombreuses sont les légendes amérindiennes liées au colibri.
Les guerriers morts au combat ou sacrifiés se rendaient au ciel oriental près du Soleil puis revenaient sous forme de colibri au bout de quatre ans.
Huitzilopochtli (colibri de gauche) représente le soleil triomphant à son zénith. C'est le dieu tribal des Aztèques qui les aurait guidés dans leurs migrations. Les Aztèques errèrent longuement pour découvrir une nouvelle terre d'accueil jusqu'à ce qu'ils trouvent l'endroit où un aigle perché sur un cactus, le nopal, dévorait un serpent comme Huitzilopochtli le leur avait prédit. Cette vision de l'aigle sur le nopal aurait été interprétée par les prêtres comme un message surnaturel du dieu Huitzilopochtli leur indiquant qu’il leur fallait s’établir à cet endroit pour y fonder ensuite un puissant empire.
Pendant la migration des Aztèques vers le sud, quatre prêtres portant la statue de Huitzilopochtli précédaient le peuple, car selon la mythologie aztèque, leur dieu s'était adressé à eux en ces termes : « Je vous conduirai là où vous devez aller. Je vous apparaîtrai comme un aigle blanc; et où que vous alliez vous chanterez. Vous n'irez que là où vous me verrez, et lorsque vous serez arrivés dans un endroit où il me semblera bon que vous demeuriez, je descendrai du ciel et vous me verrez à terre. Vous édifierez mon temple, mon lit d'herbes en cet endroit où je serai venu pour me reposer, prêt à repartir et à m'envoler. » Ce mythe correspond à l'origine de la création de la capitale des Aztèques, Tenochtitlan.
Pendant la migration des Aztèques vers le sud, quatre prêtres portant la statue de Huitzilopochtli précédaient le peuple, car selon la mythologie aztèque, leur dieu s'était adressé à eux en ces termes : « Je vous conduirai là où vous devez aller. Je vous apparaîtrai comme un aigle blanc; et où que vous alliez vous chanterez. Vous n'irez que là où vous me verrez, et lorsque vous serez arrivés dans un endroit où il me semblera bon que vous demeuriez, je descendrai du ciel et vous me verrez à terre. Vous édifierez mon temple, mon lit d'herbes en cet endroit où je serai venu pour me reposer, prêt à repartir et à m'envoler. » Ce mythe correspond à l'origine de la création de la capitale des Aztèques, Tenochtitlan.
En cherchant les légendes sur les colibris, j'ai découvert qu'il existait depuis déjà longtemps le mouvement Colibris.http://www.colibris-lemouvement.org/
une légende du colibri
Un jour, un grand incendie se déclare dans la forêt…
Tous les animaux, terrifiés, observaient impuissants ce désastre.
Seul le petit colibri, aussi frêle que déterminé, s’active en allant chercher quelques gouttes d’eau dans son bec, qu’il jette sur le feu, recommençant son manège sans relâche.
Au bout d’un moment, le tatou agacé par cette activité à ses yeux inutile, lui dit :
- « Colibri ! Tu n’es pas un peu fou ? Tu crois que c’est avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ? »
- « Je le sais, répond le colibri, mais moi, au moins, je fais ma part. »
C’est notre responsabilité à chacun, si nous le décidons.